BHARAT, NOTRE MERE A TOUS

Fusées, soucoupes volantes, science atomique, etc...

 

Avec ce numéro de RAMA NAMA nous en venons à parler de ce que peu connaissent, et de ce que peu croiront, qui s’imaginent que le monde a commencé avec Noé... Ceux qui ont lu le Ramayana ont entendu parler des vimanas (bien mieux que les avions !), il suffit de lire la Bhagavadgita ou d’autres parties du Mahabharata pour voir des armes encore plus destructrices que l’arme atomique, etc... Plus tard, nous parlerons des voyages sur la lune, Mars etc... des hindous de jadis (ne soyez pas choqués). Aujourd’hui, nous dirons quelques mots de

 

LA SCIENCE AERONAUTIQUE DANS L’INDE DE JADIS
(article de SKANDANARAYAN - février 1983 - Vivekananda Kendra Patrika)

L’ouvrage littéraire du Maharishi Bharadvaja Yantra Sarvasva est l’un des anciens manuscrits préservés dans la librairie du dernier roi de Baroda. Sur cet ouvrage est basé le livre Vaimanika Prakaram qui est sorti avec le commentaire de Bodhananda. Il se réfère à une liste de cinquante livres sur l’ancienne science aéronautique. En voici quelques uns : Sakti Sutra d’Agastya, Saudamini Kala d’shvara, Amasuma Tantra de Baradvaja, Vayutatva Prakarana de Sakatayana, Vaisvamana Tantra et Dhuma Prakarana de Narada.

L’ouvrage ‘Yantra Sarvasva’ contient huit chapitres avec cent sections couvrant cinq cent sutras. L’auteur Rishi Baradvaja mentionne six de ses prédécesseurs ainsi que leurs ouvrages.

Selon lui “ Vimana ” signifie un véhicule qui peut aller aussi vite que les oiseaux non seulement dans l’air mais aussi sur la terre et sur l’eau. Il a noté trente deux procédures secrètes grâce auxquelles seuls ont peut piloter ces vimanas. Parmi celles-ci, certaines sont telles qu’elles dépassent de loin les techniques occidentales modernes.

1.- Krithaka Rahasya : parle des matériaux de base utilisés pour la construction des Vimana comme établie par Vishvakarma, Maya, Manu, etc...

2.- Guda Rahasya : parle des diverses forces portantes de l’atmosphère, des airs dénommés Yâsa, Viyasâ, Prayâsâ, etc... Ceci permettrait au pilote de cacher la présence des vimanas.

3.- Aparoksha Rahasya : parle du pouvoir d’une force électrique spéciale causée par le tonnerre. Celle-ci est utilisée pour voir clairement les objets en face des vimanas.

4.- Sarpagamana Rahasya : parle du processus consistant à utiliser la puissance solaire pour créer un mouvement serpentin des vimanas.

Tous ces procédés secrets sont étourdissants dans leurs effets de manoeuvre des mouvements de l’aéronef. Mrs Wheeler Wilcox d’Amérique a dit à propos de l’Inde :

“ C’est le pays des grands Vedas, ouvrages immensément remarquables qui contiennent non seulement des idées religieuses sur une vie parfaite mais aussi des faits que la science a depuis prouvé comme étant exacts. L’électricité, le radium, les électrons, les vaisseaux aériens, tous semblent être connus des voyants qui découvrirent les Vedas. ”

Le Professeur Max Müller se réfère à Swami Dayananda, un grand érudit dans la recherche sur la littérature védique. Il dit : “ Dayananda a réussi à en persuader d’autres que tout ce qui valait d’être connu, même les inventions les plus récentes de la science moderne, il y était fait allusion dans les Vedas. La machine à vapeur, l’électricité, la télégraphie, le sans fil, etc... étaient montrés comme ayant été connus au moins en germe des poètes des Vedas. ” (1)

 

Donnons quelques exemples pour corroborer les vues ci-dessus :

“ Pra vo Vâyum Rathayujam Krinudhvam. ” (Rig veda 5.41-6)

Ceci se réfère à la construction de chars ou voitures fonctionnant à l’essence.

“ Asvino rasanam ratham anasvam vâjinivatah. ” (Rigveda 1.20-10)

Nous avons ici référence aux voitures qui fonctionnent avec d’autres forces et non tirées par des chevaux.

“ Sindhor urmâvadhi sritaha kâram bibharatpuruspriham. ” (Rigveda 9.14-1)

Ici, nous voyons les fabricants de voitures qui vont sur les vagues de l’océan.

“ Des véhicules à trois roues qui volent dans l’air furent utilisés par les Ribhus. ” (Rigveda 4.36-1)

On trouve beaucoup de références de la sorte dans le Rigveda lui-même.

Le Rigveda parle aussi de véhicules qui se meuvent aussi bien dans l’air que sous la mer.

“ Yaste pushan nâvo antassamudre hiranmayi antarikshe charanti... ” (Rigveda 6.58-3)

Les machines à vapeur de notre pays étaient connues comme Agni rathas.

 

Non seulement les Vedas mais aussi nos Itihasas (récits historiques), le Ramayana et le Mahabharata font mention de tels vimanas.

"Sur l’ordre de Rama, le char magnifique s’éleva jusqu’à une montagne de nuages avec un fracas étourdissant. ”

“ Bhima vola dans son vimana sur un énorme rayon qui était aussi brillant que le soleil et fit un bruit comme le tonnerre d’une tempête. ”

De tels récits doivent nous faire penser sérieusement et non simplifier à l’extrême et sous-estimer les anciens textes sanscrits comme étant de simples mythes ” dit l’auteur du livre révolutionnaire Waslood, astronaute. Voici quelques citations de plus de l’auteur, Erich von Daniken, dans le livre mentionné ci-dessus :

“ Comment le chroniqueur du Mahabharata savait-il qu’une arme capable de punir un pays par 12 ans de sécheresse pouvait exister ? Et assez puissante pour tuer les enfants non nés dans le ventre de leurs mères ? Cet ancienne épopée indienne, le Mahabharata, est plus compréhensible que la Bible. Cela vaut réellement la peine de lire l’épopée à la lumière de la connaissance actuelle.

“ Nous ne serons pas surpris d’apprendre dans le Ramayana que les vimanas, c’est à dire des machines volantes, naviguaient à de grandes hauteurs avec l’aide de mercure et un grand vent propulsif. Les Vimanas étaient des véhicules spéciaux enviablement manoeuvrables capables de voyager rapidement en avant, vers le haut et vers le bas.

“ Il y a des données numériques dans l’épopée Mahabharata qui sont si précises qu’on a l’impression que l’auteur écrivait à partir d’une connaissance de première main. ”

Dans le même livre, nous avons un premier récit d’un lâchage d’une bombe à hydrogène. Il dit qu’un Gurkha perdit un simple projectile sur la triple ville à partir d’un énorme Vimana. Le récit utilise des mots qui nous rappellent les récits des témoins oculaires de la détonation de la première bombe à hydrogène à Bikini."

 

 

Cet article date de février 1983. Quoiqu’il n’ai jamais douté de la science indienne des temps jadis qui dépassait de loin l’état actuel de la nôtre, Krishna ne pouvait se douter qu’un jour de 1992 il visiterait en Inde l’ancien site de lancement de missiles de Bhima (v. Mahabharata) (dont l’un tournerait encore et serait encore ‘actif’). Cela s’est véritablement fait par la grâce de Yogiji. Krishna souhaitait rencontrer une personne dans Delhi (qui en contient pas mal), sans avoir son adresse, il se retrouva dans une voiture et demanda à tout hasard aux personnes qui l’accompagnaient.  C’étaient elles ! Sur place il se passa quelque chose d'encore inattendu. Il lui fut dit que le sage (v. ci-dessous) avait dit que certains de ceux qui étaient là jadis allaient revenir à cet endroit-même. On lui donna alors un certain nombre d’ouvrages en hindi en le priant de les traduire en français. Ces ouvrages sont la transcription de discours qu’à fait sous transe (comme on dit maintenant) yoguique la réincarnation d’un ancien rishi (sage védique) dont le maître parlait aussi par lui. Krishna ne sait quand viendra le temps de cette traduction, mais il pourra donner quelques passages déjà traduits en anglais, ce au compte-goutte, dans de prochains numéros de RAMA NAMA.

 

Articles parus dans ORGANISER, janvier et février 2005 :

 

 Les anciens Indiens étaient un peuple qui avait réalisé de nombreux exploits dont certains surpassent même ceux de la société moderne. De nombreuses preuves indiquent que les Indiens avaient de grandes connaissances en astrologie, en aéronautique, en mathématiques, en science maritime et en médecine. L'historien britannique a dit un jour : "De nombreux progrès accomplis en Europe ont en réalité été faits en Inde il y a des siècles." Par exemple, la vitesse de la lumière était connue des anciens Indiens depuis des siècles alors que leurs contreparties occidentales pensaient que la lumière voyageait à une vitesse infinie (même Newton l'affirmait), ce jusqu'en 1675 quand Roemer détermina sa vitesse exacte. La Loi de la Gravitation était connue et est mentionnée dans la littérature védique. Isaac Newton n'a fait que redécouvrir ce phénomène. Les Puranas parlent de la création et de la destruction des Univers dans des cycles de 8,64 milliards d'années, ce qui est tout à fait proche de la valeur couramment acceptée concernant le moment du 'big bang'. Aryabatta a émis la théorie suivant laquelle la terre était une sphère au 5ème siècle tandis que Brahmagupta a correctement estimé la circonférence de la terre au 7ème siècle. Le système numérique binaire, différents codes, la logique mathématique ou l'ossature formelle qui est équivalente à la programmation, tout cela est apparu dans l'Inde ancienne.

Un calcul très avancé, les maths et l'astronomie sont apparus au Kerala plusieurs siècles avant Newton. Le pilier de fer à Mehrauli, qui n'a pas rouillé depuis des siècles, en dit des volumes sur la métallurgie que pratiquaient les anciens Indiens. L'histoire révèle que l'Inde a été la nation maritime la plus importante il y a 2.000 ans. Tout cela est bien connu et reconnu par les érudits du monde entier.

Il existe une preuve d'une guerre nucléaire dans les anciens temps. Des squelettes très radioactifs, comme ceux que l'on a trouvés à Hiroshima et à Nagasaki, ont été trouvés à Mohenjodaro pendant les fouilles faites par les archéologues. On peut trouver d'anciennes villes dont murs de brique et de pierre ont été littéralement fusionnés ensemble en Inde, en Irlande, en Ecosse, en France en Turquie et ailleurs. Il n'y a pas d'autre explication logique pour la vitrification de forts et de villes en pierre qu'une explosion atomique. Même le Dr Robert Oppenheimer, qui était familier de la littérature sanskrite et qui fut le scientifique qui a supervisé le projet Manhattan, alors qu'il faisait une conférence au Nouveau Mexique a donné une étrange réponse qualifiée à un étudiant qui demandait : "Est-ce que la bombe qui a explosé à Alamogordo pendant le projet Manhattan était la première ?". La répons a été : "Eh bien, oui. Dans les temps modernes, bien entendu."

L'ancienne littérature sanskrite est pleine de descriptions de machines volantes - les vimanas. A partir des nombreux documents qui ont été trouvés, il est évident que les scientifiques-sages Agastya et Bharadvaja avaient développé le savoir de la construction d'avions. L'Agastya Samhita décrit des ballons à hydrogène - le procédé d'extraction de l'hydrogène à partir de l'eau est décrit avec des détails minutieux et l'utilisation de l'électricité pour y arriver est clairement énoncée, comme aussi un avion qui ressemble à un parachute qui pouvait être ouvert et fermé à l'aide de cordes. Le Vaimanika Shastra du Maharshi Bharadvaja traite d'aéronautique, y compris l'étude d'avions, la manière dont on peut les utiliser pour le transport ainsi que d'autres applications, ce en détails. Il décrit aussi la construction d'avions de guerre et d'avions de combat. Tout au long du traité, il y a des schémas de trois types d'aéroplanes : le Sundara, le Shukana et le Rukma. On trouve aussi la preuve de l'existence d'aviation dans l'Arthashastra de Kautilya (3ème siècle avant J.C.).

Les textes indiens parlent de choses auxquelles aucune civilisation n'avait songé jusqu'au siècle dernier, comme le voyage aérien ou dans l'espace, la transplantation d'embryons, les naissances multiples à partir du même embryon, les armes de destruction massive (tous dans le Mahabharata), le voyage dans des domaines où le temps est ralenti, d'autres galaxies et d'autres univers, des potentiels ressemblant fort au potentiel quantum (dans les Puranas).

… En outre, le savoir des temps anciens a été mis à l'épreuve avec succès dans les temps modernes. Il est intéressant de noter que l'Académie de Recherche Sanskrite de Melkote, près de Mandya, a été chargée par le Comité de Développement de la Recherche Aéronautique de New Delhi d'entreprendre une étude d'un an sur "Une approche non-conventionnelle de l'aéronautique" sur la base du Vaimanika Shastra. Comme résultat de la recherche, un matériau ressemblant à du verre qui ne peut être détecté par radar a été développé par le Prof. Dongre, un chercheur de l'Université Hindoue de Bénarès. Un avion recouvert de ce matériau unique ne peut pas être détecté par radar.

Plus intéressant encore est le fait que Shivkar Bapuji Talpade et sa femme, ce en 1895, huit années complètes avant le premier vol des frères Wright à Kitty Hawk, USA, ont donné un sensationnel vol de démonstration sur la plage de Chowpatty à Mumbai. Leur avion "Marutsakha" était basé sur la recherche de Bharadvaja et sur les détails du Pushpaka vimana. La caractéristique la plus étonnante de l'avion de Talpade était la source d'énergie utilisée : un moteur ionique. La théorie du moteur ionique a été attribuée à Robert Goddard, longtemps reconnu comme le père de la technologie" des fusées à combustible liquide. Mais le fait est que non seulement l'idée d'un moteur ionique a été conçue bien avant le Dr Goddard, mais qu'elle a aussi été matérialisée sous la forme de l'avion de Talpade.

C'est un fait que les autres pays ont toujours pris le savoir à partir de l'Inde. La découverte du zéro et l'utilisation des chiffres, le système décimal, ont été des cadeaux de l'Inde au monde. Les 'chiffres arabes' sont en fait des chiffres hindous. Le Reiki, le Feng-shui, le judo, le karate - tous ont leurs racines en Inde. Un des plus grands scientifiques du 20ème siècle, Erwin Schrodinger, d'Autriche, a été directement insipiré par le Vedanta dans sa création de la mécanique quantique, une théorie à la base de tous nos progrès en chimie, en biochimie, en électronique et en ordinateurs.

Beaucoup de la médecine moderne peut remonter à Sushruta (600 avant J.C.), bien connu pour la chirurgie plastique. Ses réalisations les plus notables comprennent des traités d'éthique médicale, des définitions de 121 instruments chirurgicaux, le contrôle des infections par les antiseptiques, l'usage de médicaments pour contrôler le saignement,la toxicologie, la psychiatrie, l'obstétrique, les opérations de la cataracte et la classification des brûlures. Un compte-rendu illustré d'une opération faite pour un remplacement de nez près de Pune par un vaidya non nommé, ce au 18è siècle et en présence de deux médecins anglais est apparu dans la Gazette de Madras. L'article a été reproduit par la suite dans le Gentleman's Magazine de Londres en 1794 Cette description de l'opération a enflammé l'imagination du jeune chirurgien anglais J.C. Carpue qui, après avoir rassemblé plus d'information sur le "nez indien", a accompli deux opérations semblables en 1814 couronnées de succès. Après que Carpue ait publié son exposé, Graefe, un chirurgien allemand, accomplit des opérations plastiques similaires du nez en utilisant la peau du bras.Par la suite, cette chirurgie plastique est devenu populaire dans toute l'Europe.

Il y a seulement quelques années, les Chinois ont découvert des documents en sanskrit à Lhassa au Tibet et les ont envoyés à Chandigarh pour être traduits. On s'est rendu compte que les documents contenaient des indications pour la construction de vaisseaux interstellaires! Les Chinois ont annoncé qu'ils incluaient une certaine partie des documents pour étude dans leur programme spatial.

 

 

 

Les anciens Hindous
pouvaient naviguer dans l'air

 

"Les anciens Hindous pouvaient naviguer dans l'air, et pas seulement y naviguer, mais y combattre comme tant d'aigles de guerre combattant pour la domination des nuages. Pour être si parfaits en aéronautique, ils doivent avoir connu tous les arts et la science, y compris les strates et les courants de l'atmosphère, la température relative, l'humidité, la densité et la gravité spécifique des différents gaz..."

Col. Olcott lors d'une conférence à Allahabad en 1881.

 

Le Rig Veda, le document le plus ancien de la race humaine, comprend des références aux modes de transport suivants : jalayan - un véhicule conçu pour opérer dans l'air et dans l'eau (Rig Veda 6.58.3); kaara - un véhicule qui opère dans l'air et dans l'eau (Rig Veda 9.14.1); tritala - un véhicule à trois étages (Rig Veda 3.14.1); trichakra ratha : un véhicule à trois roues conçu pour opérer dans l'air (Rig Veda 4.36.1); vaayu ratha - propulsé par un gaz ou par le vent, (Rig Veda 5.41.6); vidyut ratha - un véhicule qui fonctionne grâce à de l'énergie (Rig Veda 3.14.1).

L'ancienne littérature sanskrite est remplie de descriptions de machines volantes, les vimanas. A partir des documents trouvés, il est évident que les scientifiques-sages Agastya et Bharadvaja avaient développé la science de la construction aéronautique.

L'Agastya Samhita donne les descriptions d'Agastya de deux types d'aéroplanes. Le premier est un chchatra (ombrelle ou ballon) qui devait être rempli d'hydrogène. Le procédé pour extraire l'hydrogène de l'eau est décrit avec des détails minutieux et l'utilisation de l'électricité pour ce faire est clairement affirmée. Ceci était considéré comme un type primaire d'avion qui n'était utiliser que pour s'échapper d'un fort quand l'ennemi avait mis le feu à la jungle environnante. D'où le nom agniyana. Le deuxième type d'avion mentionné ressemble un peu à un parachute. Il pouvait être ouvert ou fermé à l'aide de cordes. Cet engin a été décrit comme vimanadvigunam, c.a.d. d'un ordre inférieur à l'avion normal.

L'aéronautique ou Vaimaanika Shastra fait partie du Yantra Sarvasva de Bharadvaja. Il est aussi connu comme Brihadvimaana Shastra. Vaimaanika Shastra traite d'aéronautique, y compris de la conception des avions, de la manière dont ils peuvent être utilisés pour le transport de pour d'autres applications, ce en détail. La connaissance de l'aéronautique est décrite en sanskrit en 100 sections, huit chapitres, 500 principes et 3,000 shlokas. Le grand sage Bharadvaja a expliqué la construction de l'avion ainsi que la manière de le faire voler dans l'air, de l'utiliser sur terre et d'utiliser le même engin comme sous-marin. Il a aussi décrit la construction d'avions de guerre et de combat.

Le Vaimaanika Shastra explique les métaux et les alliages et autre matériaux nécessaires qui peuvent rendre un avion impérissable dans n'importe quelles conditions. Des avions qui ne casseront pas (abhedya), ou qui ne prendront pas feu (adaahya) et qui ne peuvent pas être coupés (achchedya) ont été décrits. Avec le traité il y a des schémas de trois types d'aéroplanes : le Sundara, le Shukana et le Rukma.

L'avion est classé en trois catégories : Mantrika, Tantrika et Kritaka, faits pour différents yugas or ères. Dans le Krita Yuga, il est dit que le Charma était bien établi. A cette époque les gens avait la divinité d'atteindre n'importe quel endroit en utilisant leurs ashtasiddhis. Les avions utilisés au cours du Treta Yuga sont appelés Mantrika vimana, ils volent grâce à l'énergie d'hymnes (mantras). Vingt cinq variétés d'avions, y compris le Pushpaka vimana, appartiennent à cette ère. Les avions utilisés au cours du Dvapara Yuga sont appelés Tantrika vimana, ils volent grâce à l'énergie des tantras. Cinquante six variétés d'avions, y compris le Bhairava et le Nandaka, appartiennent à cette ère. Les avions utilisés au cours du Kali Yuga, le Yuga dans lequel nous sommes, volent au moyen de moteurs. Vingt six variétés d'avions, y compris le Sundara, Shukana et le Rukma appartiennent à cette ère.

Bharadvaja stipule qu'il y a 32 secrets dans la science de l'aéronautique. Parmi eux il y en a d'étonnants et certains montrent une avance qui était même au-delà de ce que l'on connaît de nos jours. Par exemple, le secret de para shabda graaha, c'est à dire une cabine d'écoute de la conversation dans un autre avion, a été expliqué en décrivant de manière minutieuse un récepteur qui fonctionne à l'électricité et qui fait ce tour. La fabrication de différents types d'instruments et la manière de les assembler pour former un avion sont décrites elles aussi.

Il apparaît que la guerre aérienne n'était pas non plus inconnue, car le traité donne les techniques de shatru vimana kampana Kriya, et de shatru vimana nashana Kriya, c'est à dire de secouer et de détruire l'engin ennemi, tout aussi bien que celle de photographie des avions ennemis, de rendre leurs occupants inconscients et de rendre son propre avion invisible.

Dans le Vastraadhikarana, le chapitre qui décrit les vêtements et autre matériaux nécessaires pour voler parle en détail des vêtements à porter et pour le pilote et pour le passager, ce de manière séparée.

L'Ahaaraadhikarana est encore une autre section qui traite exclusivement des habitudes alimentaires du pilote. Il y a une variété de lignes directrices pour que les pilotes restent en bonne santé au moyen d'un régime strict.

Bharadvaja fournit aussi une bibliographie. Il a consulté six traités de six auteurs différents et ils donne leurs noms ainsi que le nom de leurs livres dans l'ordre suivant : Vimana Chandrika par Narayanamuni, Vyoma Yana Mantrah par Shaunaka, Yantra Kalpa par Garga, Yana Bindu par Vachaspati, Kheta Yaana Pradipika par Chaakraayani, Vyoma Yaarnaka Prakasha par Dundi Natha.

De même qu'avant Bharadvaja, il y a eu aussi après lui des auteurs sanskrits qui ont écrit sur l'aéronautique et il y a eu quatre commentaires de son oeuvre. Les noms des commentateurs sont Bodh Deva, Lalla, Narayana Shankha et Vishvambhara.

On trouve aussi des preuves de l'existence des engins aériens dans l'Arthashastra de Kautilya (3ème siècle av. J.C.). Kautilya mentionne, parmi les commerçants et les technocrates, les saubhikas comme étant des 'pilotes qui conduisent des véhicules dans le ciel'. Le nom de la ville volante du roi Harischandra était Saubha et la forme 'saubika' veut dire : 'quelqu'un qui vole ou qui connaît l'art de faire voler une ville aérienne'. Kautilya utilise un autre mot significatif : akasa yodhinah, qui a été traduit par 'personnes qui sont entraînées pour combattre à partir du ciel'. L'existence de chars aériens, sous quelque forme que ce puisse être, était si connue qu'elle a trouvé une place parmi les édits royaux de l'Empereur Ashoka, édits qui ont été promulgués pendant son règne, de 256 à 237 av. J.C.

II est intéressant de noter que l'Académie de Recherche Sanskrite de Melkote, près de Mandya, a été chargée par le Comité de Développement de la Recherche Aéronautique de New Delhi d'entreprendre une étude d'un an sur "Une approche non-conventionnelle de l'aéronautique" sur la base du Vaimanika Shastra. Comme résultat de la recherche, un matériau ressemblant à du verre qui ne peut être détecté par radar a été développé par le Prof. Dongre, un chercheur de l'Université Hindoue de Bénarès. Un avion recouvert de ce matériau unique ne peut pas être détecté par radar.

Mais peut-être la chose la plus intéressante concernant la science indienne de l'aéronautique et la recherche de Bharadvaja est qu'elle ont été testées avec succès dans la pratique réelle par un indien il y a plus de 100 ans. En 1895, huit années complètes avant le premier vol des frères Wright à Kitty Hawk, North Carolina, USA, Shivkar Bapuji Talpade et sa femme ont donné un sensationnel vol de démonstration sur la plage de Chowpatty à Mumbai.

Une caractéristique encore plus intéressante de l'avion de Talpade est que la source énergétique utilisée était un moteur ionique. La théorie du moteur ionique a été attribuée à Robert Goddard, longtemps reconnu comme le père de la technologie"des fusées à combustible liquide. Il est dit qu'en 1906, longtemps avant que le Dr Goddard lance sa première fusée moderne, son imagination avait conçu une fusée ionique. Mais le fait est que non seulement l'idée d'un moteur ionique a été conçue avant le Dr Goddard, mais qu'elle a aussi été matérialisée sous la forme de l'avion de Talpade.

Talpade, un habitant de Mumbai, était un savant érudit en littérature sanskrite, particulièrement des Védas, un inventeur et il enseignait à l'Ecole des Arts. Son étude profonde des Védas le conduisit à construire un aéroplane en conformité avec les descriptions de l'avion que l'on trouvait dans les Védas et il l'exposa au cours d'une exhibition dans le Town Hall de la Bombay Art Society. L'avion ayant été la véritable star du salon, cela encouragea son constructeur à plonger plus profondément dans le sujet et à voir si l'avion pouvait voler à l'aide de la pression mercurielle. En effet, le 190è richa (verset) du Rig Veda et le traité d'aéronautique de Bharadvaja mentionnent que les machines volantes entraient en complète opération lorsque l'énergie des rayons solaires, le mercure et d'autres produits chimiques appelés naksha rasas se mélangeaient. Cette énergie était, semble-t-il emmagasinée dans quelque chose qui ressemble à un accumulateur ou à des batteries. Les Védas parlent de huit moteurs différents dans l'avion et Bharadvaja ajoutent qu'ils fonctionnaient à l'électricité.

Talpade continua ses recherches dans ce sens et il construisit un avion. Il était aidé dans les expériences par sa femme, elle aussi grande érudite dans la connaissance des Vedas, ainsi que par un ami architecte. L'avion combinait les caractéristiques de construction à la fois du Pushpaka et du Marut Sakha, les sixième et huitième type d'avion décrits par Bharadvaja. Il fut appelé Marut Sakha, ce qui veut dire "ami du vent".

Avec cet avion, cet aviateur pionnier de l'Inde moderne donna un vol de démonstration sur la plage de Chowpatty à Mumbai en 1895. La machine atteignit une hauteur d'environ 1,500 pieds (450 m) puis il atterrit automatiquement. Parmi beaucoup d'autres, Shri Sayajirao Gaekwad, le Maharaja de Baroda et le juge Govind Ranade avaient été témoins du vol qui fut rapporté dans le Kesari, un des principaux quotidiens marathi. Ils furent impressionnés par le fait et il récompensèrent l'inventeur talentueux.

Malheureusement, Talpade perdit tout intérêt aux choses après la mort de sa femme, et après sa propre mort en 1917 à l'âge de 53 ans, ses parents vendirent la machine aux Frères Rally, une société britannique importante d'exportation alors à Mumbai. Ainsi, la toute première tentative de vol dans l'Inde moderne, entreprise et réalisée avec succès par un indien, dans un avion de fabrication indienne et construit selon des spécifications scientifiques indiennes, glissa dans les limbes de l'oubli.

 Ancient Indians were an advanced people with great scientific achievements, some of which surpass even the achievements of modern society. There are many evidences which indicate that Indians were very knowledgeable in astronomy, aeronautics, mathematics, marine, metallurgy and medicine. British historian Grand Duff one said: "Many of the advances in Europe were in fact made in India centuries ago." For example, the velocity of light was known to the ancient Indians for centuries while their Western counterparts believed that light travelled with infinite velocity (even Newton assumed so) until 1675, when Roemer determined its exact velocity. The Law of Gravity was known and mentioned in Vedic literature. Isaac Newton only rediscovered this phenomenon. The Puranas speak of the creation and destruction of the Universes in cycles of 8.64 billions years, which is quite close to the currently accepted value regarding the time of the 'big bang'. Aryabatta propounded the theory that the earth was a sphere in the 5th century, while Brahmagupta correctly estimated the circumference of the earth in the 7th century. The binary number system, various codes, mathematical logic or a formal framework that is equivalent to programming - all arose in ancient India.

A most advanced calculus, maths and astronomy arose in Kerala several centuries before Newton. The cast-iron pillar at Mehrauli, which has not rusted for centuries, speaks volumes of the metallurgy practised by the ancient Indians. History reveals that India was the foremost maritime nation 2,000 years ago. India's maritime history predates the birth of Western civilisation. All this is well known and acknowledge by scholars all over the world.

There is evidence of nuclear war in ancient times. Most radio-active skeletons, on a par with those found at Hiroshima and Nagasaki, were found in Mohenjodaro during excavations by archaeologists. Ancient cities whose brick-and-stone walls have literally been fused together, can be found in India, Ireland, Scotland, France, Turkey and other places. There is no logical explanation for the vitrification of stone forts and cities, except from an atomic blast. Even Dr Robert Oppenheimer, who was familiar with ancient Sanskrit literature, and was the supervising scientist of the Manhattan project, while giving New Mexico, gave a strangely qualified answer to a student who asked: "Was the bomb exploded at Alamogordo during the Manhattan project the first one to be detonated?" The answer was: "Well, yes. In modern times, of course."

Ancient Sanskrit literature is full of descriptions of flying machines - vimanas. From the many documents found, it is evident that the scientist-sages Agastya and Bharadvaja had developed the lore of aircraft construction. The Agastya Samhita describe hydrogen balloons - the process of extracting hydrogen from water is described in elaborate detail and the use of electricity in achieving this is clearly stated, as also a parachute-like aeroplanes, which could be opened and shut by operating chords. Vaimanika Shastra by Maharshi Bharadvaja deals with aeronautics, including the design of aircraft, the way they can be used for transportation and other applications, in detail. He also described the construction of warplanes and fighter aircraft. Along with the treatise, there are diagrams of three types of aeroplanes - Sundara, Shukana and Rukma. Evidence of existence of aircraft is also found in Arthashastra of Kautilya (3rd century B.C.).

The Indian texts speak about things that no other civilisation thought of until the last century, like air and space travel, embryo transplantation, multiple births from the same embryo, weapons of mass destruction (all in the Mahabharata), travel through domains where time is slowed, other galaxies and universes, potentials very much like quantum potential (in the Puranas).

… Moreover, the knowledge of ancient times has been successfully put to test in the modern times. It is interesting to note that the Academy of Sanskrit Research in Melkote, near Mandya, had been commissioned by the Aeronautical Research Development Board, New Delhi, to take-up a one-year study on 'Non-conventional Approach to Aeronautics', on the" basis of Vaimanika Shastra. As a result of the research, a glass-like material which cannot be detected by radar has been developed by Prof. Dongre, a research scholar of Benaras Hindu University. A plane coated with this unique material cannot be detected by a radar.

Even more interesting is the fact that Shivkar Bapuli Talpade and his wife, in 1895, full eight years before the Wright Brothers' first flight at Kitty Hawk, USA, gave a thrilling demonstration flight on the Chowpatty beach in Mumbai. Their plane "Marutsakha" was bases on Bharadvaja's research and the details of the Pushpaka vimana. The most astonishing feature of Talpade's aircraft was the power source he used - an ion engine. The theory of the ion engine has been credited to Robert Goddard, long recognised as the father of liquid-fuel rocketry. But the fact is that not only had the idea of an ion engine been conceived long before Dr Goddard, it had also been materialised in the form of Talpade's aircraft.

It is a fact that other countries have always taken knowledge from India. The discovery of zero and use of numerals, the decimal system, has been India's gift to the world. 'Arabic numerals' are in fact Hindu numerals. Reiki, Feng-shui, judo, karate - all have their roots in India. One of the greatest scientists of the 20th century, Erwin Schrodinger from Austria, was directly inspired by Vedanta in his creation of quantum mechanics, a theory at the basis of all our advances in chemistry, biochemistry, electronics, and computers.

Much of modern medicine caqn be traced to Sushruta (600 B.C.), best known for plastic surgery. His other notable achievements include treatises on medical ethics, definitions for 121 surgical implements, control of infection through antiseptics, use of drugs to control bleeding, toxicology, psychiatry, midwifery, cataract operations and classification of burns. An illustrated account of an operation performed for substitute nose near Pune by an unnamed vaidya, sometimes in the 18th century, in the presence of two English doctors, appeared in the Madras Gazette. Subsequently, the article was reproduced in the Gentleman's Magazine of London in 1794. This description of the operation fired the imagination of the young English surgeon, J.C. Carpue, who after gathering more information on the 'Indian nose', performed two similar operations in 1814 with successful result. After Carpue published his account, Graefe, a German surgeon, performed similar plastic operations of the nose using skin from the arm. After this plastic surgery became popular throughout Europe.

Only a few years ago, the Chinese discovered some Sanskrit documents in Lhasa, Tibet and sent them to the university of Chandigarh to be translated. The documents were found to contain directions for building interstellar spaceships! The Chinese announced that they wre including certain parts of the documents for study in their space programme.

 

 

 

Ancient Hindus could navigate the air

 

"The ancient Hindus could navigate the air, and not only navigate it, but fight battles in it like so many war-eagles combating for the domination of the clouds. To be so perfect in aeronautics, they must have known all the arts and science related to the sciencde, including the strata and currents of the atmosphere, the relatibve temperature, humidity, density nd specific gravity of the various gases …"

Col. Olcott in a lecture in Allahabad, in 1881.

 

The Rig Veda the oldest document of the human race, includes references to the following modes of transportation: jalayan - a vehicle designed to operate in air and water (Rig Veda 6.58.3); kaara - a vehicle that operates in air and water (Rig Veda 9.14.1); tritala - a vehicle consisting of three storeys (Rig Veda 3.14.1); trichakra ratha : a three-wheeled vehicle designed to operate in air (Rig Veda 4.36.1); vaayu ratha - a gas or wind-powered chariot (Rig Veda 5.41.6); vidyut ratha - a vehicle that operates on power (Rig Veda 3.14.1)

Ancient Sanskrit literature is full of descriptions of flying machines - vimanas. From the many documents found, it is evident that the scientist-sages Agastya and Bharadvaja had developed the lore of aircraft construction.

The Agastya Samhita gives Agastya's descriptions on two types of aeroplanes. The first is a chchatra (umbrella or balloon) to be filled with hydrogen. The process of extracting hydrogen from water is described in elaborate detail and the use of electricity in achieving this is clearly stated. This was considered to be a primitive type of plane, useful only for escaping from a fort when the enemy had set fire to the jungle all around. Hence the name agniyana. The second type of aircraft mentioned is somewhat on the lines of the parachute. It could be opened and shut by operating chords. This aircraft has been described as vimanadvigunam, i.e. of a lower order than the regular aeroplane.

Aeronautics or Vaimaanika Shastra is a part of Yantra Sarvasva of Baradvaja. This is also known as Brihadvimaana Shastra. Vaimaanika Shastra deals with aeronautics, including the design of aircraft, the way they can be used for transportation and other applications, in detail. The knowledge of aeronautics is described in Sanskrit in 100 sections, eight chapters, 500 principles and 3,000 shlokas. Great sage Bharadvaja explained the construction of aircraft and the way to fly it in air, on land, on water and use the same aircraft like a submarine. He also described the construction of war-planes and fighter aircraft.

Vaimaanika Shastra explains the metals and alloys and other required material, which can make an aircraft imperishable in any condition. Planes which will not break (abhedya), or catch fire (adaahya) and which cannot be cut (achchedya) have been described. Along with the treatise, there are diagrams on three types of aeroplanes - Sundara, Shukana and Rukma.

The aircraft is classified into three types - Mantrika, Tantrika and Kritaka, to suit different yugas or eras. In krita yuga, it is said, Dharma was well established. The people of that time had the divinity to reach any place using their ashtasiddhis. The aircraft used in treta yuga are called Mantrika vimana, flown by the power of hymns (mantras). Twenty-five varieties of aircraft including Pushpaka vimana belong to this era. The aircraft used in dvapara yuga were called Tantrika vimana, flown by the power of tantras. Fifty-six varieties of aircraft including Bhairava and Nandaka belong to this era. The aircraft used in kali yuga, the on-going yuga, are called Kritaka vimana, flown by the power of engines. Twenty-five varieties of aircraft including Sundara, Shukana and Rukma belong to this era.

Bharavaja states that there are 32 secrets of the science of aeronautics. Of these, some are astonishing and some indicate an advance even beyond our own times. For instance, the secret of para shabda graaha, i.e. a cabin for listening to the conversation in another plane, has been explained by elaborately describing an electrically worked sound-receiver that did the trick. Manufacture of different types of instruments and putting them together to form an aircraft are also described.

It appears that aerial warfare was also not unknown, for the treatise gives the techniques of shatru vimana kampana Kriya, and shatru vimana nashana Kriya, i.e. shaking and destroying enemy aircraft, as well as photographing enemy planes, rendering their occupants unconscious and making one's own plane invisible.

In Vastraadhikarana, the chapter describing the dress and other material required while flying, talks in detail about the clothes wear for both the pilot and the passenger separately.

Ahaaraadhikarana is yet another section exclusively dealing with the food habits of a pilot. This has a variety of guidelines for pilots to maintain their health through strict diet.

Bharadvaja also provides a bibliography. He had consulted six treatises by six different authors previous to him and he gives their names and the names of their works in the following order: Vimana Chandrika by Narayanamuni; Vyoma Yana Mantrah by Shaunaka; Yantra Kalpa by Garga; Yana Bindu by Vachaspati; Kheta Yaana Pradipika by Chaakraayani, Vyoma Yaarnaka Prakasha by Dundi Natha.

As before Bharadvaja, after him too there have been Sanskrit writers on aeronautics and there were four commentaries on his work. The names of the commentators are Bodh Deva, Lalla, Narayana Shankha and Vishvambhara.

Evidence of existence of aircraft are also found in the Arthashastra of Kautilya (c. 3rd century B.C.). Kautilya mentions amongst various tradesmen and technocrats the saubhikas as 'pilots conducting vehicles in the sky'. Saubha was the name of the aerial flying city of King Harischandra and the form saubika means 'one who flies or knows the art of flying an aerial city.' Kautilya uses another significant word, akasa yodhinah, which has been translated as 'persons who are trained to fight from the sky'. The existence of aerial chariots, in whatever form it might be, was so well-known that it found a place among the royal edicts of Emperor Ashoka and which were executed during his reign from 256-237 B.C.

It is interesting to note that the Academy of Sanskrit Research in Melkote, near Mandya, has been commissioned by the Aeronautical Research Development Board, New Delhi, to take up a one-year study on 'Non-conventional Approach to Aeronautics', on the basis of Vaimaanika Shastra. As a result of the research, a glass-like material which cannot be detected by radar has been developed by Prof. Dongre, a research scholar of Benaras Hindu University. A plane coated with this unique material cannot be detected using radar.

But perhaps the most interesting thing about the Indian science of aeronautics and Bharadvaja's research in the field was that they were successfully tested in actual practise by an Indian over a 100 years ago. In 1895, full eight years before the Wright Brothers' first flight at Kitty Hawk, North Carolina, USA, Shivkar Bapuji Talpade and his wife gave a thrilling demonstration flight on Chowpatty beach in Mumbai.

An even more astonishing feature of Talpade's aircraft was the power source he used - an ion engine. The theory of the ion engine has been credited to Robert Goddard, long recognised as the father of liquid-fuel rocketry. It is claimed that in 1906, long before Goddard launched his first modern rocket, his imagination had conceived the concept of an ion rocket. But the fact is that not only had the idea of an ion engine been conceived long before Dr Goddard, it had also been materialised in the form of Talpade's aircraft.

Talpade, a resident of Mumbai, was an erudite scholar of Sanskrit literature, especially of the Vedas, an inventor and a teacher in the School of Arts. His deep study of the Vedas led him to construct an aeroplane inconformity with the descriptions of the aircraft available in the Vedas and he displayed it in an exhibition arranged by the Bombay Art Society in the Town Hall. Its proving the star attraction of the exhibition encouraged its maker to delve deeper into the matter and see if the plane could be flown with the aid of mercurial pressure. For, the one hundred-and-ninetieth richa (verse) of the Rig Veda and the aeronautical treatise of Bharadvaja mention that flying machines came into full operation when the power of the sun's rays, mercury and another chemicals called naksha rasas were blended together. This energy was, it seems, stored in something like an accumulator or storage batteries. The Vedas refer to eight different engines in the plane and Bharadvaja adds that they are worked by electricity.

Talpade carried on his research along these lines and constructed an aeroplane. In his experiments he was aided by his wife, also a deep scholar of the Vedic lore, and an architect-friend. The plane combined the constructional characteristics of both Pushpaka and Marut Sakha, the sixth and eight types of aircraft described by Bharadvaja. It was named Marut Sakha meaning "friend of the wind".

With this plane, this pioneer airman of modern India gave a demonstration flight on the Chowpatty beach in Mumbai in the year 1895. The machine attained a height of about 1,500 feet and then automatically landed safely. The flight was witnessed, among many others, by Shri Sayajirao Gaekwad, the Maharaja of Baroda and Justice Govind Ranade and was reported in the Kesari, a leading Marathi daily newspaper. They were impressed by the feat and rewarded the talented inventor.

Unfortunately, Talpade lost interest in things after his wife's death, and after this own death in 1917 at the age of 53, his relatives sold the machine to the Rally Brothers, a leading British exporting firm then operating in Mumbai. Thus, the first ever attempt at flying in modern India, undertaken and made successful by an Indian, in a plane of Indian manufacture and built to Indian scientific specifications, slid into the limbo of oblivion.