"Chacun doit disposer d'un minimum de confort, l'essentiel étant de ne pas s'y attacher. La pauvreté pour absolument personne, mais la prospérité pour chacun et pour tous, à la fois matériellement et spirituellement, cela devrait être notre but."

"Ce mendiant a cessé d'exister en 1952. Après cela, un pouvoir l'a tiré de ci, de là. Même maintenant, ce mendiant est contrôlé par ce même pouvoir, le pouvoir qui contrôle l'univers tout entier ! Ce mendiant n'a aucune conscience ! Aucun mental ! Tout a été nettoyé ! Pas de pensée, pas de planification, pas de mental pour planifier. Aucun sens du bien et du mal ! Swami a tué ce mendiant, mais la vie est venue. Des millions et des millions de salutations aux pieds de lotus de mon Maître, Swami Ramdas ! La même folie continue encore. Il a initié ce mendiant au Ramnam et lui a demandé de chanter vingt quatre heures sur vingt quatre. Ce mendiant a commencé à le faire, et en l'espace d'une semaine, ce mendiant a eu cette folie."

"Ce mendiant n'a pas de message à donner. Si vous voulez un message, vous devez aller voir Swami Vivekananda, Ramakrishna, Sri Aurobindo, mon Maître Swami Ramdas. Mais le Père a donné au monde un nom : Yogi Ramsuratkumar ! Ceux qui chantent ce nom verront tous leurs problèmes résolus, quelles que soient les difficultés. Ce nom peut libérer les gens. C'est tout."

"Lorsque vous chantez le nom, Yogi Ramsuratkumar, alors que vous êtes en difficulté, mon Père apporte immédiatement l'aide nécessaire. Vous pouvez le voir par vous-même. Même ce nom appartient au Père. Ce mendiant n'existe pas. Seul le Père existe, partout. Ce mendiant est mort en 1952, aux pieds de lotus de Bhagavan Ramdas."

"Allez et répandez ce nom, Yogi Ramsuratkumar, sur toute la surface de la terre. C'est le don de mon Père à l'humanité. Eparpillez-le ici et là."

"Si le Père n'ôte pas nos ennuis, il nous donne au moins la force de les supporter." (vérifié)

"Je ne suis rien, que peut faire ce pauvre mendiant, sale et fumant ! C'est le Père qui vous bénit, c'est Lui qui fait tout, pas ce mendiant !"

"Lorsque le Père rend ce mendiant heureux, c'est bien. Lorsqu'il le fait pleurer, c'est bien aussi. Quel que soit l'état dans lequel le Père mette ce mendiant, cela est bien. C'est la vérité du Père. Quoiqu'il arrive, cela est parfait, parce que le Père est parfait. Chaque pensée, chaque mouvement, chaque action, chaque parole de ce mendiant est dirigé par le Père. Ce mendiant vit pour l'oeuvre du Père. Ce mendiant vivra pour le Père, mourra pour le Père..." ..."Quoique vous fassiez, pensez que vous le faites pour Lui, que vous mangiez, que vous marchiez, que vous accomplissiez quelque travail, ou que vous fassiez quoi que ce soit d'autre, pensez que vous le faites pour Lui. Il n'y a alors plus besoin de penser au futur, de planifier, il prendra soin de vous. Le Père nous aime tous. Il aime chaque être, veille sur chacun et prend soin de chacun, lorsque vous viez en compagnie du Divin, en compagnie du Père, qu'y a-t-il à craindre ? Il n'y aura pas de découragement, le Père est tout, tout est le Père. Il n'y a qu'une seule existence, celle du Père."

"Dans cet univers, tout est relié, le soleil, la lune, les étoiles, l'arbre, la pierre, vous et moi. Tout cela ne fait qu'UN. Quel que soit l'endroit où nous oeuvrons, nous participons à l'ensemble de l'activité cosmique. Nous ne faisons que ce qui est bien pour le cosmos tout entier. Et si l'individu a une fois inébranlable, quoi qu'il lui arrive, même ses échecs ne lui apporteront, en finale, que du bien."

"Seul mon Père existe. Rien d'autre, personne d'autre, dans le passé, le présent, le futur ! Ici, là, partout ! Il n'y a que mon Père ! Il n'y a qu'une seule existence, celle de mon Père. C'est la seule vie. Une seule existence, indivisible, totale, absolue. Rien n'est séparé, rien n'est isolé. Mon Père est tout, tout est en le Père ! L'unité est parfaite."

Paroles vérifiées à inclure :

"Ils disent :"Vous êtes un Mahatma, un grand Dieu qui est venu à nous". Devaki demande alors : "Qui sont "Ils" ? "- Les soeurs de Sudama" (Devaki, Vijayalakshmi, Rajalakshmi et Vijayakka). Puis il dit : "Ce mendiant n'est pas un sannyasi comme Rangarajan. Il a quelque attachement pour les soeurs de Sudama. Sans elles ils ne pourrait pas vivre. Elles rendent un grand service à ce mendiant que ce mendiant ne mérite pas." (C.C.K. - 05/12/93)

A propos du Ramanashram : "Maharshi veille sur l’ashram et il continuera. Des ashrams grandissent et meurent, mais des ashrams comme Ramanashram et Aurobindo ashram seront toujours là... (C.C.K. - 17/11/94)

Ma Devaki : - Sais-tu, Krishna, que Bhagavan m’appelle aussi sa Mère ? Tous les jours, quand il se réveille, il touche mes pieds et dit : « Vous êtes ma Mère ! » (C.C.K. - 17/11/94)