Les Maharishis, par les ondes sonores, ont capturé les Védas non-écrits et les ont transmis de génération en génération, sur le même mode, pour venir jusqu'à nous. Les Maharishis connaissaient l'astronomie, l'astrologie, le mouvement des planètes, la médecine, la chirurgie, ils avaient les connaissances techniques, physiques et chimiques pour n'en lister que quelques-unes, car rien ne leur restait inconnu. Dans nos épopées et nos Puranas, nous trouvons mention de vol dans des avions ainsi que de la connaissance des bombes, mis cela faisait partie de la connaissance exclusive de quelques experts, car la protection plutôt que la dévastation constituait l'objectif primordial. Le pilier de fer attenant au Kutub Minar à Delhi n'a pas été corrodé ni rouillé au fil de plusieurs siècles alors que notre fer actuel se corrode s'il n'est pas convenablement traité. Il est évident que nos ancêtres connaissaient aussi les formules de préservation. Les prévisions quant à la nouvelle lune, la pleine une, les éclipses, etc. ont résisté à l'épreuve du temps alors que nous avons maintenant diverses théories scientifiques qui acceptent généralement la sagesse ancienne. Puis-je dire que nous ne les avons pas inventées, mais que nous n'avons fait que de les redécouvrir. Les prédictions scientifiques actuelles concernant le temps vont vers le mauvais temps.

Récemment, à cause d'une grave chute dans le Nord de l'Inde, j'ai souffert de blessures qui n'étaient pas graves mais qui me causaient beaucoup de douleurs atroces partout et qui ont conduit au conseil médical de prendre un repos complet et de ne dire que le strict minimum de paroles. Les conversations au téléphone portable ou la réception de visiteurs furent aussi totalement prohibées.

Le docteur dit que le repos obligé était essentiel et je me sentais bien. Pourtant les doux errements de mon mental paisible trouvèrent du réconfort à la relecture de l'autobiographie de Paramahamsa Yogananda et en parcourant avec intérêt le livre en tamil écrit par Sesha Anu. Venilla sur Mahan Seshadri Swamigal, Sa vie et les expériences de Ses dévots. Le calme de la solitude était attachant et m'a conduit à mon étude lente et spécifique des deux grandes âmes élevés dont Grâce se déverse encore constamment sur la communauté.

Mettant mes chocs dans une petite capsule (1), je fus transporté par le fait que les Mahatmas, depuis l'époque de leurs Avatars, soient si imprégnés de divin qu'ils sont conscients du passé, du présent et de l'avenir de tout le cosmos dont nous sommes des miniatures. Chaque mot qu'ils ont prononcé est l'entière vérité et le résultat de leurs déclarations, quelquefois secrètes, drôles et avisées, mettent d'autres fois l'accent sur la "Vérité" ou "Satya", de quelque manière que nous puissions l'appeler. Tous les Mahatmas ont eu leurs énormes problèmes lors de leur recherche de la Vérité et leur idée est que le corps est un simple emballage de l'Atman ou du Brahman à l'intérieur, et que si l'emballage est usé, l'Atman va dans une autre enceinte emballée. Ils peuvent ne pas être concernés par la conscience corporelle qu'ils choisissent d'ignorer totalement, mais ils peuvent aussi avoir des douleurs corporelles, mais l'Atman les met de fait à l'arrière-plan, de telle sorte qu'il y a une éclipse totale de la conscience corporelle.

A chaque instant de ma 'lecture', mes pensées planaient autour de mon Guru Maharaj Yogi Ramsuratkumar, qui est le maître cosmique, dans cet héritage. Nous avons déjà quelques livres sur la vie de Guru Maharaj, comme il nous a été révélé, couplés à l'expérience de quelques dévots avec le Maître.

Bien qu'une certaine littérature est déjà disponible sur quelques-uns des évènements qui se sont produits après le Maha Nirvan de Guru Majaraj, j'envisage maintenant d'en ajouter quelques-uns de plus bien que mon but ultime soit, si j'ai la grâce de Yogiji, d'écrire un livre sur tout ce qui est arrivé après que Guru Maharaj ait atteint Siddhi. Nous devons nous rappeler des paroles solennelles de Guru Maharaj : "Après que ce mendiant aura quitté ce corps, Père travailler plus vite". Je n'étais alors pas capable de comprendre toute leur signification, mais je pense maintenant que j'aurai raison de déclarer que Yogiji avait, selon toute probabilité, mentionné que Lui, le Maître cosmique, ne serait pas confiné à son corps-emballage par la suite mais qu'il se répandrait ici, là et partout. Cela peut aussi signifier que n'étant pas attaché par les chaînes du corps, Il (Yogiji le Père) est la seule existence, rien d'autre et personne d'autre et que tout Son temps sera consacré au travail de Père qui est si infini que nous ne pouvons pas même nous aventurer à le mesurer.

Le progrès humainement inimaginable du travail de l'ashram, dans différents domaines, pratiquement continu sans pause sur quelque front que ce soit, est la preuve catégorique du travail divin de notre Guru Maharaj qui contrôle le cosmos. Engageons-nous maintenant à visualiser quelques exemples qui jetteront une grande lumière sur le travail de Père. Il y a très longtemps, probablement en 1995, la construction du Pradhan Mandir était terminée, sauf que Yogiji conservait le sol de boue (2), pour des raisons qui ne sont pas de notre ressort. Beaucoup se demandais (je n'étais pas le seul) pourquoi l'entrée principale du Pradhan Mandir avait été placée du coté ouest et non du côté nord comme nous le remarquons habituellement pour les destinations divines. Quand le Svagat Mandap fut en cours de construction, Yogiji ordonna que le mur de séparation entre le Svagatam et le Pradhan Mandir soit une simple structure de briques, ce qui donna alors l'impression à ceux qui étaient engagés dans la construction que ce mur serait en fin de compte détruit de telle sorte que l'entrée au Pradhan Mandir se ferait nécessairement par le Svagat Mandap. Il y a des raisons supplémentaires pour soutenir notre théorie humaine vacillante selon laquelle Bhagavan serait assis dans la partie surélevée du Pradhan Mandir, où nous avons maintenant l'Adhistanam, pour permettre à la foule de Ses dévots d'occuper à fois le Svagat et le Pradhan Mandir tout aussi bien que le Dhayana Mandir situé au-dessus du Svagatam car Bhgvan avait consenti à ce que la partie de cet étage élevé soit en verre. Bien entendu, on supposait alors qu'à travers la paroi de verre les dévots pourraient voir aussi le darshan du Maître. Du point de vue humain on sentait que toutes ces hypothèses étaient correctes et convenables. Yogiji avait souvent dit que l'Ashram ne serait pas suffisant à l'avenir pour héberger tous les dévots, y ajoutant un corollaire selon lequel tous ceux qui s'approchent des enceintes de cet Ashram ne repartiraient pas les mains vides, qu'ils seraient remplis de la Grâce de Père. Je dois aussi dire à ce stade que lorsque j'ai été mis en charge pour construire le dhyana Mandir, j'ai recherché le consentement de Bhagavan pour démolir ce "mur de séparation" pour recevoir une réponse positive. Pourtant, deux ou trois semaines pus tard Bhagavan déclarait : "Père n'aime pas les destructions, mis seulement les constructions." Il ne nous a pas fallu longtemps pour déchiffrer le "changement" de directions, car Yogiji avait souvent déclaré : "ce mendiant est cohérent en étant incohérent." A ce moment nous étions en outre devenus conscients que les ordres périodiques de Père entraînient des changements d'attitude chez le Maître, car Il avait toujours proclamé que "le travail de Père était toujours parfait".

Je voudrais ensuite donner, dans ce contexte, quelques autres exemples avant de résumer le plan de Maître Jnanique de notre Guru Maharaj que nous sommes maintenant capables de comprendre, bien que d'une manière minimale, que "Père ne fera jamais rien sans un objectif." Au-dessus des marches d'entrée du Svagatam, il y deux arches, assez grande avec de la profondeur, une à droite et une autre à gauche. Nous voyons aussi cinq arches derrière l'Adhistanam, bien entendu fort au-dessus du mur. Nous remarquons de la même manière à l'intérieur du Pradhan Mandir, sur la partie supérieure au-dessous du plafond et des deux côtés, des ornements de construction avec des proportions géométriques dont nous n'avons jamais pu comprendre la nécessité. A l'intérieur des ornements, les arches inférieures ont du carrelage mais elles ne peuvent pas héberger beaucoup de personnes assises ou debout pour le darshan de Bhagavan. L'idée de départ de l'entrepreneur avait été de mettre deux escaliers en spirale, l'un à l'endroit où notre Maître nous donnait le darshan, à l'extérieur de l'entrée du Pradhan Mandir, assis sur Sa chaise. Un escalier similaire avait aussi été dessiné par l'entrepreneur du côté est. Faites attention, il n'y a aucune ouverture entre un ornement et l'autre. Au mieux, ces parties peuvent être utilisées comme espace de débarras pour des choses dont on n'a pas besoin de manière régulière. Même pour cela, les choses devraient être montées ou descendues selon les occasions à l'aide d'échelles et de pouvoir musculaire. Je dis à Bhagavan que je n'arrivais pas à trouver de but ni d'utilité à ces cages d'escalier sinueuses mais qu'elles empêchaient au contraire d'avoir le darshan de Bhagavan à l'endroit où Il s'asseyait alors sur une chaise et faisait pleuvoir Sa grâce sur Ses dévots. Bhagavan entra en samadhi pendant environ 15 à 30 minutes, et lorsqu'Il ouvrit les yeux avec ce sourire contagieux proverbial qui avait pour effet de se répandre partout sur Son visage radieux, Il me prit le poignet gauche en le compressant presque avant de s'exclamer : "Père est d'accord avec Justice Arunachalam que ces cages d'escalier sont superflues." Après quelques minutes, avec un rire de tonnerre, Guru Maharaj me dit avec humour "Ce mendiant ne veut pas perdre l'endroit où Il est assis actuellement." C'est l'endroit exact où nous avons maintenant du côté nord de l'entrée au Pradhan Mandir le Bhagavan qui Bénit à l'intérieur de Sa divine enceinte, nous offrant Son premier darshan lorsque nous entrons dans l'Ashram par le Nord.

Je dois ajouter que dans les ornements géométriques qui sont presque au centre, des deux cotés, un espace tout à fait large a été laissé qui peut être trois fois plus large que les autres ornements. Nous savons que c'était sous la direction de Père, que le plan de construction de l'Ashram a été conçu par Bhagavan et que de par Sa grâce infinie l'architecte de Trichur Sri Ravi a pu dessiner le plan exact sur papier qui a satisfait le Père et le Fils (Yogiji) / la dynastie du Soleil.

Nous devons nous souvenir que les constructions qui présentes différentes formes n'ont pas pu exister sans un but car le concept même a été guidé par le Guru. L'entrepreneur et quelques autres ont donné plusieurs suggestions à Bhagavan pour s'emboîter dans les arches profondes. Des images de la coque de noix de coco, de l'éventail de palmyre ou du signe Om, mais ils ont tous été rejetés d'un signe de main avec une déclaration : "Mon Père prendra soin d'eux au moment voulu." Seul Bhagavan connaissait alors le travail rapide que Son Père mettrait en place après son Maha Nirvan.

Pouvons-nous imaginer ou rêver que tout de que nous voyons à l'intérieur du Pradhan Mandir, du Svagatam et de plusieurs autres endroits de l'Ashram pourrait avoir été le résultat de conceptions humaines ? Après que notre Guru Maharaj ait atteint Siddhi, beaucoup m'ont questionné sur la disponibilité d'un ouvrage sur l'histoire de la vie et des upadesas de ce grand Mahatma. Comme Bhagavan nous avait dit qu' "Il n'avait pas de biographie", nous ne pouvions même pas tenter de publier un ouvrage avec le matériel dont nous disposions alors. Pourquoi ? Ce pourrait être a question suivante. Réponse : Quand nous avons demandé à Bhagavan de nous permettre de sortir une revue mensuelle/trimestrielle sur notre ashram et ses activités, Bhagavan a dit : "Nous devrions avoir un ordinateur. Qui va le donner?" J'ai répondu que le Dr. Anjanikumar nous en fournirait un avec joie. Bhagavan a répondu : "Justice Arunachalam peut essayer." Avec sa dévotion et son dévouement habituel, le Dr. Anjanikumar nous a offert en peu de temps un ordinateur de notre choix. Bhagavan a béni le Dr Anjanikumar en déclarant que "cet ami a toujours été serviable." Mais peu de temps près l'arrivée de l'ordinateur, pour notre déception, Bhagavan déclara que Père disait que ce mendiant avait déjà chargé Justice Arunachalam de tâches énormes et que la pensée d'une publication d'un journal pouvait être retardée.

Alors que j'offrais mes prières avec pranams un jour particulier devant la sila rupam de Bhagavan, qui est toujours éveillée, le Maître ordonna, comme cela m'a semblé, que nous pourrions mettre des tableaux peints avec quelques-unes de Ses paroles, en anglais et en tamil, dans le Pradhan, Mandir et dan les autres salles, ce qui pourrait peut-être en satisfaire certains qui avaient un désir ardent "d'être informé sur ce mendiant". Cette pensée n'aurait jamais pu me venir si Bhagavan ne l'avait pas provoquée. Tout ce que je vais écrire par la suite sur les sujets ci-dessus sont à chaque fois le résultat d'une direction intérieure de Bhagavan. A part l'assurance de Bhagavan que "Père guidera toujours Justice Arunachalam", je suis certain qu'il en est ainsi, puisque des résultats réels ont instantanément suivi - que ce soit en aide humaine, en argent ou en soutien et en aide bénéfiques. La fixation des tableaux en lin a été une réussite immédiate, car nous avons eu l'occasion de voir de nombreux dévots de différentes nationalités prendre des notes dans leurs carnets des déclarations de notre Maître.

Un jour que je faisais la pradakshan de l'Adhistanam, je regardais comme d'habitude le siddhi stalam à l'intérieur à travers le panneau de verre et j'essayais de prendre à travers le verre la tour de l'Adhistanam qui s'y réfléchissait. Alors que je regardais vers le haut je connus une incitation immédiate : "Pourquoi ne mets-tu pas une ancienne photo de ce mendiant dans l'arcade centrale ?" Ce travail, guidé par Bhagavan, a été entièrement réalisé.

Quelques semaines après Pujya Sri Sri Muralidhara Swami est gracieusement descendu à notre Ashram. Alors que je le rejoignais pour le pradakshan de l'Adhistanam, Il s'arrêta à un endroit, vit la photo de Yogiji au-dessus du mur et il fut visiblement très heureux. Il me demanda alors si je savais "Pourquoi Yogiji avait mis cinq arcades au-dessus ?" Je répondis : "Je n'en sais strictement rien", cela pour susciter sa réponse selon laquelle les cinq arcades représentaient NA MA SI VA YA, les cinq lettres qui constituent l'un des nombreux noms du Seigneur Shiva. Yogiji eut alors les quatre autres rapidement installées, nous donnant assez de force physique et mentale. Des dévots désirèrent ardemment contribuer chacun à une photo. Yogiji prenait ainsi aussi soin des finances. Trois ans plus tard un orateur tamil réputé, Thiru. Sukhi Sivam ui avait été invité à notre Ashram, en regardant les cinq portraits de Yogiji dans les cinq arcades s'écria que ces cinq représentaient les cinq éléments. Dieu peut être interprété de nombreuses manières, n'est-ce pas ? (3)

Alors que les semaines passaient, des intuitions périodiques jaillissaient en mon esprit et cela eut pour résultat de mettre des photos de Yogiji dans le Pradhan Mandir associées aux différents stades de Sa vie et du travail de Père. Ce travail a été fait avec des intervalles et chaque photo a eu son donateur. Tout cela a été volontaire. Dans les élévations géométriques assez longues du milieu, de chaque côté, sous l'impulsion de Bhagavan, "OM", des images de l'éventail en palmyre et de la coque de noix de coco ont été fixées avec encore des fonds donnés par des dévots qui le désiraient. Vous voyez à l'intérieur du Pradhan Mandir des tableaux qui contiennent les chansons et les chants qui réjouissaient Bhagavan : Arunachala Siva, Arunachala Siva, Arunachala Siva, Aruna jata - Maithrim Bhajata - Kuram Onurm Illai Maraimurthi Kanna, le deuxième est la composition du Paramacharya chantée par S.S. au quartier général de l'O.N.U. et le troisième a pour auteur Sri Chakravarti Rajgopalachariar, le premier Gouverneur Général Indien de l'Inde. Dans le Pradhan Mandir, Svagatam, Grace; le Bureau et le Yaga salai nous avons les chants "Yogi Ramsuratkumar Jaya Guru Raya, Om Sri Ram Jaya Ram Jai Jai Ram et Rama en anglais et en tamil dans le hall principal. La tour du Yogi Ramsuratkumar Mahalingam adhistanam a aussi le chant du nama. Tout cela assure la paix du mental et le bonheur intérieur, ce qui est tout ce dont nous avons besoin. Yogiji n'a pas permis que le mur qui s'interpose entre le Svagatam et le Pradhan Mandir soit démoli car Il avait déjà planifié qu'il devrait être une pièce spéciale pour les Mahatmas, avec sa sila rupa qui orne majestueusement la partie centrale. Nous nous enthousiasmons maintenant en voyant le résultat.

Revenons maintenant au Pradhan Mandir. J'ai dit pus tôt qu'il semblait plutôt étrange d'avoir l'entrée du Pradham Mandir du côté ouest. Bhagavan nous a maintenant fait prendre conscience que la gauche de l'entrée attirerait les dévots de la Bhakti marga qui aimeraient toucher le pied sacré de Bhagavan et prier, et que la droite de l'entrée signifierait la Veda marga. Nous devons résumer les paroles optimistes de Bhagavan selon lesquelles si les Vedas n'étaient pas là, le monde devrait être considéré comme mort. Le besoin de deux margas se trouvait dans la vision jnanique de Bhagavan, car ce n'est qu'aujourd'hui que nous prenons conscience des deux besoins. Les arcades à l'extérieur du Pradhan Mandir sont maintenant adaptées de façon appropriée aux paroles de Bhagavan en anglais et en tamil - Père a donné un nouveau nom à ce monde - Yogi Ramsuratkumar". Cela aurait-il pu arriver sans les ondes de pensée que Bhagavan a à l'évidence insufflées en moi ?

Le lendemain de la descente de Bhagavan dans la fosse du Samadhi, les dévots qui étaient présents ont été étonnés de voir deux lignes parallèles reliant le svarupam et l'adhistanam alors temporaire. Il n'y avait ni pluies ni rosée. Cela semble indiquer que les deux margas aident à L'atteindre. Le Pradhan Mandir a plusieurs ouvertures de chaque côté qui me semblaient superflues, mais lors du Maha nirvana et le Kumbhabhishekam, nous savions que Bhagavan était disposé à un accès facile des dévots au Pradhan Mandir. J'ai mentionné dans un autre article que Bhagavan peut nous voir, peut voir à travers nous, et qu'il voit au-delà de nous. Cette Vérité ne s'applique-elle pas aussi aux évènements ?

(Notes du trad.)

(1) Nous supposons que cela veut dire : "Mettant mes douleurs de côté"
(2) Plus exctement de terre séchée.
(3) Il est évident que l'on peut donner au chiffre cinq toutes les significations traditionnelles, 5 étant le chiffre de la manifestation : 5 éléments, 5 sens de connaissance, 5 sens d'action, 5 doigts, etc.

Maharishis, by means of sound waves had captured the unwritten Vedas and passed them on from generation to generation, in the same mood, to reach us as well. The Maha rishis knew Astronomy, Astrology, the movements of planets, Medicine, surgery, technical, physical and chemical knowledge - to list only a few, for nothing remained unknown to them. In our epics and puranas, we find mention of flying in flower planes and knowledge of bombs too, but that was within the excusive knowledge of a few experts, for protection rather than devastation as the foremost object. The iron pillar adjacent to kutub Minar at Delhi, had not corroded or rusted for over several centuries, thought our present iron unless properly treated, get eroded. It is apparent that our ancestors knew the preservation formula as well. The forecasts about new moon, full moon, eclipses, etc., have stood the test of time, while we have no various scientific theories which by and large accept the ancient wisdom. Can i say that we have not invented them, but only made a rediscovery of the same. The present scientific predictions about weather, themselves run into rough weather.

Recently due to forceful fall, in North India, i suffered injuries, that ere not severe but they yet resulted in excruciating pain, all over, leading to medical advice of complete rest and very minimal talking. Conversing over the mobile or receiving visitors ere also total prohibited.

The compelled rest was essential said the doctor and I felt good. However the lovable wanderings of my peaceful mind found solace in re-reading of the autobiography of Paramahamsa Yogananda and running through with welcome interest, the book in Tamil penned by Sesha Anu. Venilla on Mahan Seshadri Swamigal, His life and experiences of His devotees. The calmness of solitude was endearing and that led to my slow and specific study of the two great elevated souls, whose Grace for the community is still constantly pouring.

Putting my impacts, in a small capsule, i was elated that Mahatmas, from the time of their Avatars are so divine soaked that they are aware of the past, present and future of the whole cosmos, of which we are minuscules. Every word uttered by them I the whole truth and the results of their statements, some time cryptic and humorous and purposeful at other times emphasize that "Truth" or "Satya", in whatever way we may term it. All Mahatmas had their own mountainous problems during their search for Truth and their concept is that the body is a mere wrapper of the Atman or Brahman inside and if the wrapper gets worn out, the Atman gets into another wrappered enclosure. Body consciousness may not at all be relevant to them, which they choose to totally ignore, but they too may have bodily afflictions, but the Atman effectively puts them in the background, that there is a total eclipse of body consciousness.

At every moment of my 'reading', my thoughts hovered around my Guru Maharaj Yogi Ramsuratkumar, who is the cosmic Master, in that heritage. We have already a few books on the life of Guru Maharaj, as had been disclosed to us, coupled with the experience of some devotees with the Master.

Though certain literature is already available about a few of the happenings after Maha Nirvan of Guru Maharaj, i intend to add a few more now though my ultimate aim is, if i have the grace of Yogiji to pen a book on all that happened after Guru Maharaj attained Siddhi. We have to recapitulate the solemn words of Guru Maharaj : "After this beggar leaves the body, Father will work faster." At that moment i was not able to understand their full significance, but now i think i will be right, if i state, that Yogiji had in al probability mentioned that He, the cosmic Master, would not be confined to his body wrapper thereafter but would be pervading here there and everywhere. That may also signify that not being bound by the shackles of the body He (Yogiji the Father) is the only existence, nothing else and nobody else and all His time would be confined to Father's work which is extensively infinite, that we cannot even venture to gauge about.

The humanly unimaginable progress of Ashram work, in various spheres, almost continuously without any break whatever on any front, is the definite proof of the divine work of our Guru Maharaj who controls the cosmos. Let us no engage ourselves in visualizing a few of the instances, which throw abundant light on Father's work. Long, long ago probably in 1995, the Pradhan Mandir construction was over, except that Yogiji retained the mud flooring alone, the reasons for which are not within our compass. I appeared to may, i not being an exception, inn wondering as to why the Pradhan Mandir main entrance was put up on the western side and not on the northern side, as we usually notice in divine destinations. When the Swagath Mantap was in the process of construction, Yogiji directed that the partition wall between Swagatham and Pradhan Mandir could be a single brick structure, which then in the impression of those engaged in construction as that ultimately that wall would be erased so that entry to the Pradhan Mandir would necessarily be via Swagath mandap. There are some more reasons to support our vacillating human theory, that Bhagavan would be seated in the raised portion in the Pradhan Mandir, where we now have the Adhistanam, to help the throng of His devotees to occupy both Swagath and Pradhan mandir halls as well as Dhayana Mandir, situated over Swagatham for Bhagavan had consented that the portion at that elevated stage could be in glass. Of course it as then presumed that through the glass too, devotees could have darshan of the Master. From the human point of view all those assumptions were felt to be correct and proper. Yogiji had often mentioned that the Ashram would not be sufficient in later days to accommodate all devotees, adding corollary to it that anyone who comes near the precincts of this Ashram would not go empty handed; they would be full with Father's Grace. i must also mention at this stage, that when i was in charge of constructing the dhyana Mandir, i sought the consent of Bhagavan for demolition of that 'partition all" to receive a positive reply. However, tow or three weeks later Bhagavan stated, "Father does not like destructions, but only constructions." It did not take us much time to decipher the "change" in the directions, for Yogiji often stated, "This beggar is consistent in being inconsistent." Further by this time, we had become aware that the periodical commands of Fathers had the attitudinal changes in the Master, for He has ever proclaimed that "Father's work is lays perfect."

Then i would like to mention in this context, few other instances, before summing up the Gnanic Master plan of our Guru Maharaj, which we are now able to understand, tough minimally that "Father will never do anything without purpose." Above the entrance steps to Swagatham there are to arches, big enough with depth, one on the right and the other on the left. We also see five big arches behind the Adhistanam, of course high above the wall. Similarly we notice inside the Pradhan Mandir, on the upper portion, below the ceiling, on both sides, patterns of construction geometrical proportions, the need for which we could never comprehend. Inside the patterns, the lower arches have flooring but they cannot accommodate many to get seated of keep standing for Bhagavan's darshan. There was an initial idea of the contractor to put two spiral staircases, one at the spot where our Master was giving darshan to us, outside the entrance to the Pradhan Mandir, seated on His chair. A similar staircase plan was also charted out by the contractor, on the eastern side. Mind you, that there is no opening in between one pattern and another. At best, those portions can be utilised as a dumping space for things not regularly needed. Even for that purpose, articles would have to be lifted up or brought down as occasions demand, with the hep of ladders and man power. i communicated to Bhagavan that i was not able to find any purpose or utility for the winding staircases but on the contrary they would deprive of Bhagavan's darshan, at the place where He was then seated on a chair and showering His grace on His devotees. Bhagavan went into a Samadhi state for about 15/30 minutes, and when He opened His eyes with that proverbial infectious smile, which had the effect of spreading all over His radiant face, He caught hold of my left wrist almost squeezing it, before exclaiming, "Father agrees with Justice Arunachalam, that the staircases are superfluous." After a few minutes, with a thundering laughter Guru Maharaj humorously conveyed to me, "This beggar does not ant to lose the place where He is now seated." That is exactly the place where we no have in the northern side of the entrance to the Pradhan Mandir the Blessing Bhagavan, inside His divine enclosure, offering us His first darshan, when we come inside the Ashram from the North.

i must add, that in the several geometrical patterns, almost at the centre of both sides quite large amount of space had been left out which may be three times more than the other patterns. We know that it was on Father's direction, the Ashram's construction plan was conceived by Bhagavan and due to His infinite grace the Trichur architect Sri Ravi was able to draw on paper the exact plan, which satisfied the Father and the Son (Yogiji)/ Sun dynasty.

We must remember that the constructions projecting different shapes could not have been without a purpose, for the concept itself was Guru oriented. The contractor and a few others offered several suggestions to Bhagavan to fit into the deep arches. Pictures of the coconut shell, palmyrah fan or the sign Om, but al of them were wave away with the pronouncement, "Father will take care of them at the appropriate time." Only Bhagavan had known then about the fast work that His Father would put in place; after His Maha Nirvan.

Can we imagine or dream tha all that we see inside the Pradhan Mandir, Swagatham and in several other places inside the Ashram could have been the outcome of human conceptions? After our Guru Maharaj attained Siddhi many were enquiring me about the availability of any publication on the life history and upadesas of this great Mahatma. Since Bhagavan was ever telling us, "He has no biography" we could not even attempt any publication with the material available till then. Why? may be the next question. Answer: When we requested Bhagavan to permit us to bring out a monthly/quarterly publication of a magazine about our Ashram and its activities Bhagavan said, We should have a computer - who would give it? i replied Dr. Anjanikumar would happily provide us with one. Bhagavan replied, "Justice Arunachalam could try." Dr. Anjanikumar with this usual devotion and dedication offered to us within short period a computer of our choice. Bhagavan blessed Dr.Anjanikumar stating that "this friend h salsas been helpful". But soon after the arrival of the computer, to our disappointment, Bhagavan stated Father says this beggar has already burdened Justice Arunachalam with huge tasks and the thought about a publication of a journal could be postponed.

When i was offerings my prayers with pranams on a particular day before Bhagavan sila roopam, which is ever lively, the Master commanded as it appeared to me, that we could put up printed boards, with some of His sayings in English and Tamil in the Pradhan Mandir and other halls, which my possibly satiate a few who have a craving, "to know about this beggar." This thought could have never occurred to me, unless Bhagavan had induced it. All that I am going to pen hereafter, on the topics referred to above are all results of inner guidance from Bhagavan every time. Apart from Bhagavan's assurance that "Father will always guide Justice Arunachalam", I am positive it is so since quick and effective results instantaneously follow - no matter man or money power or advantageous support and help. The putting up of the flax boards were an instantaneous success for we had the opportunity of witnessing many of the devotees of different nationalities, noting down in their diaries the solemn pronouncement of our Master.

Once when i was on pradakshan of the Adhistanam, as usual I looked inside the siddhi sthalam through the glass panel and attempted to look through the glass, the Adhistanam tower reflected inside. As i was looking up i had an instantaneous spur, "Why don't you put on an old picture of this beggar in the centre arch?" The completion of that Bhagavan oriented work we had total fulfilment.

A few weeks thereafter Pujya Sri Sri Muralidhara Swamiji had graciously come down to our Ashram. While I joined Him for pradakshan of the Adhistanam, He stopped at a point, saw the picture of Yogiji above the wall, and was visibly very happy. Then He asked me if I knew "Why Yogiji had put up five arches above?" I replied, "I am totally unaware" to evoke His reply the five arches represent NA MA SI VA YA, the five letters constituting one of the several names of Lord Shiva. What then Yogii had the remaining four installed speedily, giving us enough physical and mental strength. Devotees were eager to contribute ach for one picture. Yogiji thus took care of the finances too. Three years later a reputed Tami speaker Thiru. Sukhi Sivam who was invited to our Ashram, on looking up at the five portraits of Yogiji inside the five arches instantaneously burst out that those five represent the five elements. God can be interpreted in many ways, isn't it?

As weeks rolled by, periodical intuitions sprang up in my mind and that resulted in perfect putting up of Yogii's pictures in the Pradhan Mandir relating to several stages of His stages of Hi life and Father's work. This work was done with interim intervals and each portrait had a devotee donor. All that was voluntary. In the middle longish geometric elevations, on either side, on Yogii's inducement "OM" and palmyrah fan and coconut shell portraits were fixed again with funds provided by craving devotees. You see inside the Pradham Mandir boards containing the songs and chants that delighted Bhagavan : Arunachala Siva, Arunachala Siva, Arunachala Siva, Aruna jada - Maithreem Bhajata - Kurai Onurm Illai Maraimurthi Kanna; the second is the composition of Paramacharya sung by M.S. at U.N. head quarter and the third uthored by Sri Chakravarti Rajagopalachariar the first Indian Governor General of India. In the Pradhaan Mandir, Swagatham, Grace, Office room and Yaga salai we have the chants Yogi Ramsuratkumar Jaya Guru Raya, Om Si Ram Jaya Ram Jai Jai Ram and Rama in English and Tamil inn the main hall. The Yogi Ramsuratkumar mahalingam adhistanam tower too has the nama chant. All this ensures peace of mind and inner happiness, which is all that we nee. The intervening wall between Swagatam and Pradhan Mandir was not allowed by Yogiji to be demolished for He had already planned that it will have to be an exclusive hall for Mahatmas, with His sila rupa majestically adorning the centre portion. We now get excited on this score too.

Now we are back to the Pradhan Mandir. i have mentioned earlier that it appeared rather strange to have the entrance to the Pradhan Mandir on the western side. We are now made aware of by Bhagavan that the left of the entrance would attract devotees of the Bhakti marga, who would like to touch the holy feet of Bhagavan and pray, and the right of the entrance would signify the veda marga. We have to recapitulate the sanguine words of Bhagavan that if Vedas were not to be there, the world has to be deemed to be dead. The need for two margas was within the Gnanic vision of Bhagavan for only today we realise the twin needs. The arches outside the Pradhan Mandir are now fitted aptly with the words of Bhagavan in English and Tamil - "Father has given a new name to this world - Yogi Ramsuratkumar". Could that have happened without the thought waves obviously injected into me by Bhagavan?

The day after Bhagavan went down into the Samadhi pit, the devotees present were astonished on seeing to parallel lines connected the svarupam and the then temporary adhistanam. There were neither rains nor dew. The indication appears to be that both the Marga help to reach Him. The Pradhan Mandir has several doorways on either side which appeared to look superfluous to me but during Maha nirvana and Kumbhabhishekam, we knew that Bhagavan was ready for comfortable access to the Pradhan Mandir by devotees. i had mentioned in some other article that Bhagavan can see us, can see through us, and see beyond us. Does not that Truth apply to events also?