La Divinité à Tiruvannamalai |
D'innombrables Mahatmas, un bienfait pour l'Inde en vérité, dans la solitude absolue, que ce soit dans les Himalayas ou ailleurs, sont sans cesse engagés en Tapas ou en Dhyana, invoquant la miséricorde du Tout-Puissant, pour la transformation de l'Humanité par le retour à la vertu, de telle sorte que le globe puisse être un Havre de Paix, de Piété et d'Unité combinées. Ils ne recherchent rien pour eux-mêmes, car ils sont déjà en communion avec Dieu, ayant réalisé l'unité du Jiva et du Brahman. Si l'humanité humaine a en son sein quatre vingt pour cent de bonnes personnes et vingt pour cent de non-bonnes personnes, l'organisation qui met en uvre la loi peut s'attaquer à la situation. Imaginez le contraire : il n'y aura que le chaos et l'organisation qui met en oeuvre la loi ne pourra être qu'une spectateur muet. Si ce contraire n'est pas arrivé, cela n'est du qu'aux pouvoirs spirituels des Mahatmas dont j'ai parlé plus haut.
Bhagavan Yogi Ramsuratlcumar Guru Maharaj, qui est l'Avatara Purusha sous forme humaine, aurait tout aussi bien pu se trouver en solitude absolue comme ceux qui se trouvent sur la même longueur d'onde, mais Il a choisi de descendre du pinacle jusqu'à la poignante réalité terrestre, c'est notre plus grande chance, par à travers Lui nous voyons, nous entendons et nous prenons conscience de la présence de Dieu alors que nous chantons son 'nama' et, inconsciemment, nous prenons conscience de la 'transformation' que Bhagavan accomplit silencieusement. Les Avatara Purushas se mêlent au commun pour l'élever jusqu'aux niveaux élevés de la réalisation de l' 'atman'. Ce travail spirituel, selon Mahatma Gandhi, est le lien parfait qui existe entre le Divin et le Méritant.
Si j'affirme fermement qu'il y a actuellement une Renaissance
dans notre société, il ne peut pas y avoir de notre
divergente.
Les pensées divines, la sincérité au travail,
l'amour pour la Nation, des visites périodiques aux Temples
et aux Saints, ce avec une foi absolue dans le Tout-puissant,
cela faisait partie de la manière de vivre du passé.
Nous sommes ensuite passés par une étape qui s'éteint
actuellement petit à petit, où des questions furent
lancées : "Où est Dieu ? Avez-vous vu le Tout-Puissant
? En ces jours de science avancée, comment pouvons-nous
croire en l'existence de Dieu sans Le voir ?" Ces interrogateurs
peuvent vraisemblablement effacer ce nuage de confusion car la
science voit sa logique se terminer en un point alors que la Divinité
est infinie. Cette réalité est bien sur la voie
de la reconnaissance incontestée.
Questionné, Ramakrishna Paramahamsa dit à Swami
Vivekananda, qu'Il avait vu Dieu et qu'Il pouvait aussi Lui faire
voir. Quelques non-croyants assis devant Ramakrishna Paramahamsa
se couvrirent de leur vêtements du haut et les tinrent pour
qu'ils ne s'envolent pas du fait du vent fort qui soufflait alors.
Ramakrishna leur demanda : "Pourquoi vous couvrez-vous et
tenez-vous vos vêtements ?" La réponse fut :
"Le vent souffle." Ramakrishna demanda : "Où
est le vent ?". Ces non-croyants prirent alors conscience
que même si l'on ne pouvait pas voir le vent, sa présence
pouvait être vécue. Ainsi en était-il avec
Dieu. Un dévot s'est souvenu de l'affirmation de Yogiji
: "Dieu n'est pas un objet. Il est un sujet." Nous ne
pouvons Le voir, mais nous pouvons Le sentir." N'est-ce pas
une formidable similitude de pensée ?
Kanchi Paramacharya a pose une question et y a aussi répondu
dans son style inimitable.
Question: On dit que le Guru est plus grand qu'Ishvara et que
Guru Bhakti est plus efficace qu'Ishvara Bhakti. Pourquoi en est-il
ainsi ?
Réponse : Personne n'a vu Ishvara. Si la personne que nous
voyons est toujours pure et propre du fait de Jnana et qu'il est
ferme dans son esprit, dans ses actes et dans ses actions, à
partir de cette personne, combinaison d'Ishvara-Guru on atteint
la paix mentale que nous attendons d'Ishvara.
Je me rappelled avoir lu la declaration de Papaji selon laquelle
si nous chantons le RamNam quelques dizaines de millions de fois,
Rama apparaîtra devant nous et que cela était une
certitude. Le chanteur n'a pas besoin de tenir le compte, parce
que Rama s'en occupe. Le Guru, comme on l'entend ainsi dans les
Vedas, est l'Avatar du Seigneur.
Périodiquement, quand ce monde a besoin d'un Sauveur pour
effacer l'Adharma et soutenir le Dharma et par là conduire
le monde sur la voie de la vertu., le Tout-Puissant S'incarne
dans les Avatars et choisit de vivre parmi nous pour éclairer
le chemin du salut pour le bien final de l'Humanité. Selon
la déclaration de la Bhagavad Gita, pour l'établissement
du Dharma et l'élévation spirituelle de l'humanité,
le Seigneur a pris Sa demeure à Tiruvannamalai, sus la
forme humaine de Yogi Ramsuratkumar. Qu'il en soit ainsi est l'expérience
des dévots qui L'ont compris sous une diversité
de Formes Divines.
Le 'Mendiant' et le 'Sale Pécheur' à Tiruvannamalai
est un joyau, très pur rayon serein. Qu'il soit Dieu ou
une personne en communion avec Dieu, cela ne peut que difficilement
faire de différence pour nous, car Il est sans aucun doute
le GURU visualisé par Paramacharya. Selon sa conception,
un Yogi est une personne qui n'est pas affectée par le
chagrin, le péché ou un défaut dans le mental.
Le mental est la cause du chagrin. Si la saleté du mental
est nettoyée, il se tournera de lui-même vers Paramatina.
Ce n'est que par la discipline et le contrôle que le mental
peut être nettoyé de sa saleté. Un Yogi est
une personne dont le mental a atteint le Paramatma et qui n'accepte
rien d'autre. To the Yogi, not even the greatest misery will assail
his mind - A Yogi is full of awareness. He is always full of bliss,
without desiring anything.
Yogi Ramsuratkumar, le Bikshandar (Mendiant) est Parameshvara
même. Pourquoi donc cache-t-il son 'Parameshvara" et
se proclame-t-il 'Sale pécheur' ? Cela indique-t-il la
voie qu'Il taille pour que nous la suivions à la recherche
du soi intérieur ? Est-ce une réitération
de l'appel de clairon de Maladasa de la Mère Divine à
ses fils selon lequel ils étaient des Niranjanas (Âmes
parfaites) ?
Ayons maintenant une peinture écrite de notre Yogiji.
Il est vêtu, visiblement, de vêtement qui ne son pas
propres. Cela indique-t-il la dure nécessité de
pureté intérieure ? Il porte son dhoti dans le style
traditionnel, avec une jobba (kurta) qui pend, qui touche presque
Ses genoux - un grand châle la plupart du temps de couleur
cendre foncée est porté en travers sans soin, laissant
visible la région de son épaule droite. Il porte
un double éventail de palmyre et une noix de coco dans
la main droite, avec un 'Thandam' de petite taille. Une addition
récente est celle d'une longue corde, raccourcie, dans
une forme ovale, qui est le plus souvent autour de son bras droit
ou de son épaule droite et quelquefois comme une guirlande
autour du cou. Un vêtement vert négligemment attaché
orne Sa tête. Par sa grandeur, sa longue barbe blanche rappelle
l'une des mottes de beurre volé qui tombe de la bouche
de l'enfant Krishna. Le pouce et l'index gauche sont souvent joints,
égrenant symboliquement les rudrakshas visuellement non-existants.
Est-ce le Chin-mudra du Seigneur Dakshinamurthi, quoique nous
ne puissions pas être exactement des Sanakathis. De gracieux
aperçus de Son 'Avatara', projetés occasionnellement
projetés, doivent être observés distinctement,
et mis en nous pour une préservation éternelle.
On peut trouver un exemple concret dans l'article de Mr.N.S. Mani.
La marche rapide à l'intérieur du Darshan Mandir
alors qu'Il bénit ceux qui sont dans l'attente est tout
de suite majestueuse et rappelle celle d'un major général
qui accepte une garde d'honneur. Le trait de l'écrit imaginaire
sur Lui-même de 'OM' ou de 'RAMA'; apparemment en hindi,
ne peut échapper à un oeil pénétrant.
On ne peut manquer les cigarettes Charminar qu'il fume de manière
délibérée, quelquefois même sans aucun
intervalle entre deux. Le cendrier devant Lui incitera plutôt
à réfléchir. Les cigarettes ne sont pas toutes
fumées jusqu'au bout. Certaines peuvent rechercher leur
demeure dans le cendrier avec une simple bouffée ou quelques-unes,
alors que d'autres peuvent atteindre leurs extrémités.
Des cigarettes de longueurs différentes, fumées
ou non fumes, attireront l'il critique. Je comprends que
cet exercice qui consiste à fumer est directement proportionnel
au Karma des dévots qui se pressent devant Lui. On a la
ferme conviction que l'éventail fait disparaître
toutes nos fautes. Il sera de notre devoir de ne pas permettre
de nouvelle accumulation de cette matière étrangère.
La fumée inhalée ressort rarement. La forte odeur
de cigarette que l'on fume que nous sentons normalement est frappante
par son absence, alors qu'un doux parfum émane dans ce
processus.
La vénération et l'affection de Yogiji pour le Paramacharya sont uniques Yogiji n'est pas un ermite, mais un sage qui accomplit la mission de Son Père pour notre élévation. Pour moi, les paroles qui résonnent de Yogiji : "Père seul existe; rien d'autre, personne d'autre", ponctuées par "Il pénètre tout, ici, là, partout" laissent instinctivement une impression indélébile que Yogiji seul peut être Ce PERE, l'amalgame de FILS et de PERE.
Un jour mémorable, Yogiji se joignit à quelques Sadhus qui étaient sur le départ dans un van pour se rendre à un endroit près de Thanjavur, pour participer à un Sadas qui devait être inauguré par le Paramacharya. Quand le groupe atteignit sa destination, ils virent Maha Periyal déjà au milieu de Son anugraha bashyam. Alors que les autres trouvaient rapidement leur siege dans l'auditorium, Yogiji, s'excluant, choisit de se tenir près d'un Pilier (n'est-il pas ce pilier proverbial de Feu d'Arunachala) en se concentrant avec extase sur les paroles de cette Voix Divine du Paramacharya. Des voyants et des sages qui ont renoncé peuvent n'avoir aucun mal à les localiser, par leur longueur d'onde, et cela ne peut donc être une surprise que le Prêcheur appelle le Yogi et désigne particulièrement un siège de côté dans la rangée du devant pour qu'il l'occupe. Cela ayant été fait, le Pontife de Kanchi continua son allocution, dans laquelle il fit référence à l'Evolution et à l'Involution. Le Paramacharya désigna alors Yogiji et s'exclama qu'il était quelqu'un qui avait établi la communion avec Brahman au travers du processus de l'Involution. L'attention de l'audience se tourna instinctivement vers Yogiji, avec quelques-uns qui tentèrent de l'approcher, Lui, leur co-voyageur. Le Paramacharya leur demanda de rejoindre leurs sièges. Ces "allocations de sièges", je le reconnais, ont une signification matérielle, car Yogiji qui attribue des places à Ses dévots, ne peut admettre même un changement involontaire, car Lui seul sait tout du travail de Son Père, travail qui ne peut être perturbé. Que KANCHI et ARUNAI ont des liens étroits par les saints est un sujet d'histoire.
La nécessité d'écrire le Ram-Nam, sur lequel le Paramacharya appuyait vigoureusement, est en complète harmonie avec le mouvement du Ram-Nam, fermement conseillé par Yogiji. Ceux qui ont vu Yogiji dans le hall intérieur de son ancienne résidence Sannadhi street et le Paramacharya dans ses quartiers habituels du Kanchi Matt ou ailleurs lors de sa tournée, seront certainement d'accord que ces DEUX 'AVATARA PURUSHAS' se trouvaient dans leurs sanctum sanctorums agrandis - Kamakshi et Annamalaiar - où y a-t-il place pour quelque doute que ce soit que ces Dieux sont descendus sur Mère Terre pour être parmi nous, laissant les Devas en recherche éternelle d'eux, pour nous élever du plan mondain au plan spirituel, pour faciliter l'ultime salut.
C'est la faiblesse humaine, souvent prise pour de l'ingénuité, qui pousse à poser des questions du genre : "Si Yogi Ramsuratkumar est une incarnation de Dieu, comment se fait-il que nos maux et nos problèmes ne s'évanouissent pas ?" Les questionneurs réalisent peu le concept de l'Advaïta des âmes impérissables et du cycle des renaissances. Une personne ne peut obtenir que ce qu'il mérite. Des personnes pas si bonnes que cela peuvent ostensiblement être les bénéficiaires de bonnes fortunes inattendues alors que ceux qui sont absolument dévoués peuvent être mis dans des souffrances incessantes. Imaginons tous ce que les non-bons auraient du normalement recevoir, mais que par manque de bonté il ne leur a été laissé que des bénéfices accessoires et imaginons également l'acte du Sauveur qui a minimisé les problèmes du fidèle inébranlable, empêchant ainsi une catastrophe macroscopique. Il nous est impossible de concevoir les voies impénétrables de Dieu. Nous devons avoir Foi et Croyance, parfaits, que nous sommes obliges de recevoir tout ce que nous méritons qui n'est connu que de Dieu et de nul autre.
Si Dieu prend Forme Humaine, Il ne s'exclut pas des épreuves
et des tribulations habituelles communes à l'Humanité.
S'il n 'en était pas ainsi, Rama aurait-il du partir en
exil dans la forêt pendant 14 ans ? Quel était le
besoin de Pathivritha Sita Devi de consentir à l'Agni Pariksha
? Comment se fait-il que le Seigneru Krishna ait permis qu'Il
soit tourmenté ? Pourquoi Ramana Maharishi a-t-il permis
d'être atteint d'un cancer douloureux ? Pourquoi Yogi Ramsuratkumar
a-t-il du être sant toit ni nourriture pendant plusieurs
années avec un bref atterrissage dans un poste de police
pendant l'état d'Urgence ? Lorsque Dieu descend jusqu'à
Bhuloka, Il est un avec nous, sans que la souffrance soit une
exception, afin qu'en fin de compte nous puissions devenir un
avec Lui. La science, la logique et les questions donquichottesques
doivent apporter la Foi, seul passeport pour le salut.
Que pour la 'Réalisation', les deux choses jumelles requises
sont une Foi inébranlable et un Bhagavan Nama Sankirtana
plein de dédicace
"Yogi Ramsuratkumara
Yogi Ramsuratkumara
Yogi Ramsuratkumara
Jaya Guru Raya"
Semble être le message principal de Yogiji. Nous pouvons
sonder l'insondable Yogi Ramsuratkumar, qui dans Sa grâce,
pour nous libérer, nous donne de temps en temps des aperçus
de LUI-MÊME.