Swamiji stimule la machine gouvernementale

Swamiji energising Government machinary
K.V. Viswanathan

Les saints ont permis à des personnes de travailler au service de Dieu afin de promouvoir le bien-être du monde. Il est de la responsabilité du chef de Département gouvernemental de transférer les fonctionnaires en cas de besoin. Mais les saints, parfois avec leur vision divine, comprennent intuitivement les intentions de Dieu et effectuent des transferts. Cela m'est arrivé plusieurs fois. J'ai connu beaucoup d'expériences de ce genre avec Bhagavan.

J'ai eu un contact avec un Sadhu. Un jour, il m'a dit que je risquais d'être transféré et il m'a demandé si j'avais des préférences. J'ai répondu que j'aimerais être quelque part près de lui, faute de quoi j'aimerais être près de ma famille à Madurai.

Il m'a demandé si j'avais une autre préférence. J'ai dit que j'avais exprimé mes préférences puisqu'il me l'avait demandé, que je lui en laissais le soin. Après un court silence, il a dit : " Je souhaite vous transférer à Tiruvannamalai pour un travail spécifique. "

En fait, mes officiers supérieurs avaient prévu de me transférer à Madurai. Mais la décision du Divin était différente. J'ai été transféré à Tiruvannamalai à cause de la vision divine du Sadhu. Par la grâce de Dieu, j'ai eu la grande chance d'avoir le darshan de Sri Yogi Ramsuratkumar le jour même où je suis arrivé à Tiruvannamalai.

J'ai accompagné un ami au darshan du Seigneur Arunachaleshvara le jour précédant mon engagement. Swamiji (Yogi Ramsuratkumar) se tenait à l'entrée du temple. Mon ami m'a amené à Lui et m'a présenté. J'ai touché les pieds de Bhagavan et l'ai salué. Le regard plein d'amour de Bhagavan est tombé sur moi. Je suis incapable de décrire en paroles l'enchantement de ce moment.

Bhagavan m'a regardé vivement et a dit : " Êtes-vous celui qui a traduit le livre tamoul 'Aanma Padayil Enna Valarchi ' de Periyavar Ramamurthi en anglais ? " J'ai dit oui. Bhagavan a dit que la traduction était bonne, ce pourquoi je L'ai remercié. Ça a été ma première rencontre avec Bhagavan.

Après cela, je me rendais tous les jours chez Bhagavan pour recevoir Ses bénédictions. Un jour, j'ai demandé à Bhagavan : " Puis-je vous apporter à manger ? " Le soir même, je lui ai apporté des chapatis et du dhall, que Bhagavan a accepté avec bonheur. Son acceptation m'a procuré beaucoup de bonheur. Il a imposé une condition pour apporter à manger, à savoir que la nourriture devait être préparée par un membre de la famille et qu'elle soit aussi amenée par un membre de la famille. En conséquence, j'ai eu la chance de lui donner à manger matin et soir pendant une année entière à Tiruvannamalai. J'offrais le chapati sabji le matin et le gruau de riz avec du cornichon le soir. Ma famille et moi étions remplis de bonheur parce qu'Il acceptait cette simple nourriture.

On ne peut pas dire qu'Il acceptait toujours la nourriture; parfois, lorsque mes filles plaçaient la nourriture devant Lui, Il la bénissait et disait qu'elles pouvaient la reprendre. Mes enfants pleuraient parce que Swamiji ne mangeait pas la nourriture. Parfois, Il nourrissait les chiens.

Un matin de Pongal alors que j'avais pris de la nourriture à offrir, Il était sorti. J'ai commencé à parler à une personne qui était à proximité. Quand Swamiji est revenu, Il s'est mis en colère et a dit : " Reprenez la nourriture ". J'ai eu le cœur brisé et j'ai commencé à pleurer. Bhagavan a été touché et il a gentiment accepté l'offrande. J'ai compris qu'Il voulait que chaque travail fût exécuté avec le plus grand soin et avec la plus grande humilité.

Je me suis souvenu des paroles de Sri Krishna dans la Bhagavad Gita selon lesquelles tout ce que vous offrez à Dieu doit être offert de tout coeur, sans sentiment de moi ni de mien.

Le soutien et la coopération de mon épouse et de ma famille m'ont renforcé dans l'offrande de nourriture à Swamiji. Bien que notre offrande fût maigre comme le riz battu offert par Kuchela (Sudama) à Sri Krishna, le fait qu'Il l'accepte nous a donné un sentiment d'accomplissement.

Quand j'étais à Tiruvannamalai, j'allais tous les jours au domicile de Bhagavan pour recevoir Ses bénédictions. Il demandait : " Quelque chose de spécial aujourd'hui ? ". Je racontais les particularités de la journée et Il me bénissait en disant : " Mon père est avec vous. Il vous donnera les conseils nécessaires. " En conséquence, tout se passait bien.

Un de mes amis était Assistant personnel du Percepteur. Avant de rejoindre mes fonctions, il m'a dit : " Il y avait auparavant quelqu'un qui était très efficace dans ce travail. Pourrez-vous être vous hisser à son niveau ? " J'ai dit que je ferais de mon mieux. Lors de l'année où j'ai travaillé à Tiruvannamalai, le groupe a pris la première place de tout le département grâce aux bénédictions de Swamiji.

J'avais contacté Swamiji pour exploiter de petites économies. Il m'a donné 1 roupies comme "Sa contribution". J'ai pu atteindre les objectifs fixés par le gouvernement dans les neuf syndicats de panchayat relevant de la compétence de mon groupe. De même, 98% des objections de l'Audit ont été corrigées du fait des bénédictions de Swamiji.

Le plan de Développement Rural a également fait des progrès remarquables dans mon groupe en raison des bénédictions de Bhagavan. Je souhaite faire part d'un évènement. J'avais pris cinq copies du plan triennal de mon groupe et j'avais porté le dossier à Bhagavan pour recevoir Ses bénédictions. Il a mis Sa main sur le dossier et a dit : "Votre groupe obtiendra la première place. " Mon groupe a obtenu la première place au niveau de l'État et la troisième place au niveau national. Le mérite en revient entièrement à Bhagavan.

Le plan de développement rural intégré visait à identifier 1036 bénéficiaires avec l'aide de la banque coopérative du village et à distribuer les veaux à rapporter d'Haryana.

Selon le Programme, les demandes devaient être faites auprès des banques coopératives, examinées, et des prêts devaient être octroyés à cet effet. La procédure elle-même pouvait prendre un mois. La demande doit d'abord être faite, examinée de manière approfondie, obtenir le consentement de la société coopérative, être garantie et obtenir l'autorisation de l'administration du village, etc., avant que le prêt puisse être versé.

Mais le Percepteur ne m'a donné qu'un jour pour terminer ce travail. Au cours de cette journée, les sociétés coopératives devaient obtenir l'autorisation d'accorder les prêts, le responsable des coopératives de district devait examiner les documents, les approuver et les chèques devraient être remis aux bénéficiaires.

Ma tâche consistait à compléter tout ce qui précède et à remettre le chèque au chef du département d'État chargé de l'élevage, qui partait par le vol du lendemain matin. Grâce à la bénédiction de Swamiji, tous les travaux, du village jusqu'au district, ont été achevés avec succès et il a été possible de remettre le chèque à l'agent qui prenait le vol du matin.

Lorsque j'ai rencontré Bhagavan avec le Secrétaire adjoint de District de la Société coopérative, le Secrétaire adjoint a dit : " Il n'y a pas eu dans le passé un travail aussi volumineux achevé en une seule journée dans le département. Nous ne pouvons pas y croire. Nous sommes abasourdis. " Shri Swamiji a dit : "Ce sont toutes les Lilas de mon Père. " De nombreux évènements de ce genre seront racontés ultérieurement.

(Saranagatam janvier 2019)

 

Saints have allowed persons to work in the service of God in order to promote the welfare of the world. It is the responsibility of the head of a Government Department to transfer offi cials when necessary. But saints sometimes with their divine vision intuit the intentions of God and effect transfers. This had happened to me a few times. I had many such experiences with Bhagawan.

 

I had contact with a Sadhu. One day he told me that there was likelihood of a transfer for me and asked me whether I had any preferences. I replied that I would like to be somewhere near him, failing which I would like to be near my family at Madurai.

He asked me whether I had any other preference. I said that I had expressed my preferences since he had asked me; that I would leave it to him. After a short silence he said, "I wish to transfer you to Tiruvannamalai for a specific work."

Actually my superior officers had planned to transfer me to Madurai. But the decision of the Divine was different. I was transferred to Tiruvannamalai because of the divine vision of the Sadhu. By God's grace
I had the great fortune of having darshan of Sri Yogi Ramsuratkumar, that too on the very day that I went to Tiruvannamalai.

I had gone with a friend to have darshan of Lord Arunachalaswara on the day prior to my joining duty. Swamiji (Yogi Ramsuratkumar) was standing at the entrance of the temple. My friend took me to Him and introduced me. I touched Bhagawan's feet and saluted Him. Bhagawan's loving glance fell on me. I am unable to describe in words the enchantment of that moment.

Bhagawan looked keenly at me and said, "Are you the person who translated the Tamil book, "Aanma Padayil Enna Valarchi" of Periyavar Ramamurthi into English?" I said yes. Bhagawan said that the translation was good for which I thanked Him. This was my first meeting with Bhagawan.

After this I used to go to Bhagawan's abode every day to get His blessings. One day I asked Bhagawan, "Can I bring you food?" I took some chappathis and dhall that very evening to Him, which was accepted happily by Bhagawan. His acceptance gave me much happiness. He imposed a condition for bringing food, which was that the food should be prepared by a member of the family and also brought to Him by a family member. Accordingly I had the good fortune of brining Him food morning and evening for a whole year when I was at Tiruvannamalai. I used to offer chappathi sabji in the morning and give rice gruel with pickle in the evening. My family and I were fi led with happiness because He accepted this simple food.

It could not be said that he would always accept the food; sometimes when my daughters placed the food before Him, He would bless the food and say that they could take it back. My children would weep that Swamiji did not eat the food. Sometimes He would feed the dogs.

One Pongal morning when I took some food offering He had gone out. I started talking to a person nearby. When Swamiji returned He became angry and said, "Take back the food" I was broken hearted and started weeping. Bhagawan was touched and he kindly accepted the offering. I understood that He wanted that every work should be executed with the utmost care and humility.

I remembered Sri Krishna's words in the Bhagawad Gita that when you offer anything to God it should be done wholeheartedly free of the feeling of I and mine.

I was strengthened by the support and cooperation of my wife and family in offering food to Swamiji. Though our offering was meagre like the beaten rice offered by Kuchela (Sudama) to Sri Krishna, the fact of His acceptance gave us a sense of fulfilment.

I used to go to Bhagawan's abode every day when I was at Tiruvannamalai to get His blessings. He would ask, "Anything special today?" I would narrate the day's special features and He would bless me saying, "My Father is with you. He would give the necessary guidance." Accordingly everything would go on smoothly.

One of my friends was a Personal Assistant to the Collector. Before I joined duty he told me "There was a very efficient person in this job earlier. Would you be able to come up to his level?" I said that I would do my best. During the one year that I was working in Tiruvannamalai the block took first place in the whole department due to Swamiji's blessings.

I had approached Swamiji in connection with harnessing small savings. He gave me Re.1/- as "His contribution" I was able to reach the targets (set by the Government) in the nine panchayat unions coming under the purview of my block. Similarly 98% of the Audit objections were rectified due to Swamiji's blessings.

The Rural Development plan also showed remarkable progress in my block due to Bhagawan's blessings. I wish to record one incident. I had taken five copies of the 3 year plan for my block and took the file to Bhagawan for His blessings. He placed His hand on the file and said, "Your block will get the first place." My block did get the first place at the State Level and third place at the National Level. The credit goes entirely to Bhagawan.

It was a part of the integrated Rural Development Scheme to identify 1036 beneficiaries with the help of the village cooperative bank and distribute the calves to be brought from Haryana.

According to the Scheme, applications should be obtained through the Cooperative Banks, examined and loans given for the purpose. The procedure itself could take a month. The application should first be obtained, examined thoroughly, obtain the consent of the cooperative society, get guaranteed and the permission of the village Administration etc., should be obtained before the loan could be disbursed.

But the Collector gave me only one day to complete this work. Within that one day Co - Operative Societies should get the permission to grant the loans, the District Co - Operative officer should examine the papers, approve and the cheques should be issued to the beneficiaries.

My task was to complete all the above and have the cheque handed over to the Head of the State Livestock Department, who was leaving by the next morning's flight. Because of Swamiji's blessing all the work from the village to district level were successfully completed and it was possible to hand over the cheque to the officer taking the morning flight.

When I met Bhagawan with the District Assistant Secretary of the Co - Operative Society, the Assistant Secretary said, "there is no history of such a voluminous work having been completed in a day in the department. We cannot believe it. We are stunned" Shri Swamiji said "All my Father's Leels." There are many such incidents which will be narrated in due course.

(Saranagatam January 2019)